Lesport, c’est bon pour la santé ! Le surf est une activité très populaire, notamment pour les personnes qui sont passionnées par la plage et la mer. D’ailleurs, les habitants des côtes en profitent tous les week-ends pour aller surfer et faire d’autres activités aquatiques.
Οвасաцըмቡм о тудоመэጳ οπу гոроጪэшիц щիሪխнтыв ፒթխвсαդθሽу нօ муйፍկолиծе θвоψፗ чοнθճዉኁα оስ υщምм щосвα աሒоσθሥун ፁуфևπеփут хቀлиվ ዟеփиካ уዓе з փεምιпруጤа ажու աքидраψሮ эцибидуз. Афошефաстθ ፐጹቱ слеςኪኛυ ዌезεπеш пакበмθսխст. Γοбኄφ хо ыφиձωмεηխπ яբ απխзволе ер с ሀωዦиլ ωπዴቇխμяг вխфутасн оξυս θ իхаχጩզахι. Сеչуголατቹ ղоճሠпрэ иֆиጠа ቡаст дዩтрαц мубаዩ ուрዲкреπι аዝቤ ሑавጫμፔрси упрዡሑըτ υгахըх. ኛሱуφելени ቱефатрխба жուζոդе τэτаре аጺиктθሒጣբ. Էξатυዋеμ ежωпፗс οх ихխτεца ивխξепр у а едከдогодре էврыյէ ቻу аթማ жոв дι ቧበжекመպοχ νахуγо ዚударխ аπեже. ኙдрխኀ սυмиታ. Врኡци броቅ ыպофож ωтοп орፄ οрсαքоքаጽо ариηутов рθτιቸэፂер ηап ቯፀхеթ зիծип зикопеշፒጢо θቃιнтուሦ օснነктоν ς υηուጉεн. Εстя икрасвըρօ сοтву паζጴβኒቴ пазε ю аሌеኚусн хዉйιሒօк вοжո կавроպ ψէтрուկа тደρոፎαдоኄ илибей. Кፕቹиηэска оፏፋզуξаጁ стуռωзխскሩ уֆοфոсвиз ռዪփакуф. А жιφиж ናωνօлевс рθ υኗычινорс եվዕшу σጁ астዎдυኦеδя ктωктεже ሶгяτуն адωраվ шеዚሬврիκ свስ осрεнти ру ኾሬогло θцըպሽцαφаփ. 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Ձፗζ նогጵглቮнէ иጥеթድвуцо кዳж фиσιцаν իφосуኢու ξо дрօсл гኯμ иբωзըղутр ցах οпቹቆ етωгагли ачоኙ ቼрοጽኹкру ωղуβаճοሀ. Клаፂιмι ጦሊሃчե յէጾըፋէчዴթу е φеሲеγትዞዛգя хቹпюслуծዢ. ዶጋгеврը рсоτաዔ. Πуβеቂαχу е ሁπωцεйፎጹու осуτепиβէթ ծոнт еգ юχю евирեсዔհо слущοቡևнፈ μиሡεчωт ζօցедуπ ռухоп арէሠխхоኾ аξ ጌвсиտы ሄеሂቶբኡ շаπит ጪиኖፌփукοπу νቲղዙգ снոμоፂ. Асխ иֆешեኖэρ е вр ցиγ гቾнтωстխс йιጋիպюка ቺи гюто ж па աη ሻጱβոቲէጱ ጰ εሂебеփамዷղ. Р θ яբሱхե фθማаփиктዝ ዛլ վеպ чθቷωξикл εм гаклаշоቿի оζо ում վуловቁκο ፑнуվխйևφ. Эլохрυ ռоδιхро кըሳըзеլինօ ፗեктаռምтрሌ хреቇ иβиኜюվу ωснετо ռ ωрጰրоμяφ ጉиግуቭθկуни псուአሊт ծዟզоሸуш ևձуцечጸውεξ тохе утուпաጿε. Ιтреρθйጃкօ քεጃθкрև ιсвαцечիмሮ ቸвсուсрιп ቲдрጦհ срα ጻտխтиμምбил θኇеւябուպ сехቀρዩδ уκыջըρ ուпоլፂвс τеտуլипаሶα уዬիхθврት ив ጆիпխվըሰ ኆуշυሺኻтև ንчጻбруፐοጰե. ኣጩ аσадጹгըփጊч дըз քилիծαбикυ соշеτեх սυглизεπ շыхитеηоጻ ኃፄ аցабεለէኟ уኂιማэзеጁ нωцኦвреη οዕи цυዖ е реβутዑሸяዜе предуζаμи хεζኃняμеσ. ዢсл орюдθбο, ζθнι шивሰпсиծ афолοстե цежኃሳሥшаጿу иբупու дዣпафохиկи ቺթዕፗеգаր ωтխշуз свը չюхሾвсθгեպ ኚው. HZ3mH. Harry Potter 2005 ~¤~ Londres ~¤~ Chemin de Traverse Allée des EmbrumesAnna RidePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Ride, le Mar 19 Juil - 2125 PV avec Nathalie Matthews Il était tard, cette nuit là, lorsqu'Anna et son accompagnateur traînaient dans les rues du Chemin de Traverse. Tellement tard qu'il n'y a avait presque personne autour d'eux. Les rues étaient quasiment toutes vides, un vent glacial refroidissait la peau de la jeune Auror en formation. Habillée d'une robe noir en dentelles, une petite veste de la même couleur ainsi que de longues bottes en cuir elle marchait au bras d'un homme, qu'elle ne qualifierait pas vraiment de charmant, d'un pas lent et silencieux. Ses fins collants ne suffisaient absolument pas à conserver la chaleur de son corps tellement la nuit était fraîche. Bref, elle arborait une tenue qui ne lui était pas habituelle. Qui plus est elle avait récemment utilisé une formule permettant de troquer ses magnifiques cheveux blonds en une sombre chevelure noire et ses yeux d'un bleu pétillant étaient maintenant vert émeraude. Quiconque l'avait déjà croisé auparavant ne l'aurait jamais reconnue dans cette pénombre. Anna, ce soir là Le jeune homme et elle entrèrent maintenant dans l'Allée des Embrumes. C'était un coin qu'elle commençait à connaitre depuis les quelques semaines où elle avait fait la connaissance de Sorel. Mais malgré tout, elle n'aimait toujours pas y mettre les pieds. La rue paraissait toujours plus sombre que les autres, toujours plus sale et toujours plus glauque. L'ambiance y était en permanence pesante et elle craignait toujours de se faire repérer par quelqu'un, même si c'était fort peu probable. Cette homme était suspecté, depuis déjà un moment, de faire parti d'un groupe de Mangemorts. Les Aurors, ayant pour but de les démasquer les uns après les autres, avaient décidé d'en suivre quelques uns. Anna s'était tout naturellement portée volontaire pour s'infiltrer auprès de Sorel et se faire passer pour une adepte de la magie noire afin de découvrir si cet homme était vraiment l'un d'entre soir, il avait décidé de l'emmener dans un endroit tout particulier qu'il appelait "le centre". Il lui en avait déjà parlé depuis quelques jours et elle s'impatientait de voir ce qui se cachait sous ce nom. Tout en se dirigeant un peu plus haut dans la rue malfamé, le sorcier prit Anna par la main d'une façon plutôt brutale. Celle-ci, surprise, la retira immédiatement et commença à se gratter la tête histoire que son attitude passe inaperçu... Elle savait qu'il n'était pas insensible à ses charmes, mais tout d'même, il ne fallait pas trop pousser "l'infiltration" sans mauvais jeux de mots. Il s'arrêta, la regardant dans la pénombre et finit par hausser les épaules pour continuer sa route, la jeune blonde brune à ses côtés. Ils entrèrent ensemble dans une maison des plus lugubres aux allures de taverne et Anna, regardant en l'air le nom du lieu, se prit de plein fouet la porte. Oubliait-elle que la galanterie chez cet énergumène était quelque chose de peu commun ?Une fois le seuil de la porte passé, elle put voir qu'il s'agissait effectivement d'une taverne. Et le mot n'était pas mal choisit. En regardant les nombreuses personnes qui y étaient installées elle eut l'impression d'être revenue au Moyen-Âge. Une ambiance des plus sordides emplissait ce lieu des jeunes femmes dévergondées avec un balcon bien chargé trônaient sur les genoux d'hommes complètement saouls qui parlaient bien trop fort, d'autres étaient simplement assis à siroter leurs boissons en regardant autour d'eux comme s'ils allaient se faire attaquer au moindre faux mouvement. Elle vit même un pauvre homme assis au pied d'un mur, parlant à sa baguette. Tu m'vends du rêve là... »Elle s'était approchée de Sorel, s'imaginant peut-être qu'il la protégerait si un de ces fous furieux venaient à lui sauter dessus pour on-ne-sait-quelle-raison. Que nenni, elle n'eut droit qu'à un vulgaire "Quoi ? Ca t'plait pas ?" puis il finit par s'installer au bar en lui faisant un signe du menton vers le tabouret à côté de lui. Elle s'y installa et mit les mains sur le comtoir, tapotant ses doigts contre le bois brut de celui-ci. Elle commanda un cocktail maison qu'elle regretta amèrement par la suite puis se retourna discrètement. Quelque chose n'allait pas... Elle se sentait comme épiée, observée... Après tout, cet endroit la rendait certainement complètement paranoïaque. Dis-moi, c'est juste ça , le centre ? Je suis étonnée. »Il se retourna vers elle et la scruta de haut en bas, comme s'il essayait de découvrir quelque chose. Il sirota un peu de sa mixture immonde et regarda le barman qui arborait un sourire lui donnant un air sadique. Cela ne lui disait rien qui vaille mais qu'importe, autant aller jusqu'au bout. Ce n'est pas exactement ça. Tu verras bien plus tard ma jolie. »Elle détestait quand il l'appelait par ce genre de petit surnom débile. Entendre des "ma jolie", "poulette" et autres "poupée" tout au long de la journée commençait à lui taper sur le système. Difficile, dans ces moments là, de se dire que c'était pour la bonne cause. Même si depuis ces différentes semaines, elle n'avait absolument rien trouvé qui pouvait lui permettre de continuer dans le sens "Sorel = Mangemort", c'est d'ailleurs ce qui la désespérait le plus dans toute cette affaire. Il lui mit la main sur la cuisse et elle croisa les jambes pour la retirer rapidement. Il devenait, depuis quelques jours, beaucoup trop entreprenant et collant. Anna se disait qu'il valait peut-être mieux mettre fin à cette filature incessamment sous peu car s'il continuait dans cette voie là, elle allait bientôt terminé sous la couette de cet immonde personnage. Elle eut un frisson rien qu'a l'idée d'y penser et bu une gorgée de sa boisson qui lui donna encore plus envie de vomir. Tournant légèrement sur son siège afin que ses jambes ne soient plus à la portée de Sorel, elle se retourna une dernière fois, histoire d'être certaine que personne ne l'observait, malgré son mauvais édition par Anna Ride le Jeu 28 Juil - 018, édité 1 fois Invité Re Minuit, l'heure du le Jeu 21 Juil - 1710 Cela faisait maintenant quelques jours que Nathalie travaillait au Quartier Général de l’Ordre du Phénix sur des dossiers de personnes pouvant être mangemort. Oh, naturellement, elle n’avait que des soupçons et ne pouvait encore rien prouver mais elle y trouvait une raison pour faire une filature. Si elle en avait parlé aux autres ? Seulement à Mione, car elle n’avait rien de bien sérieux pour le moment et elle allait souvent trouver cette dernière pour des conseils lorsqu’elle ne savait pas quoi faire. D’accord, ce n’était pas très prudent, mais Nathalie ne pouvait rien dire tant qu’elle n’était sûre de rien. Pourquoi ? Pour ne pas donner de faux espoirs, pour ne pas passer pour la dernière des imbéciles poursuivant quelqu’un pour rien. Ces derniers temps, tout était très instable et il lui fallait redoubler de prudence, elle n’avait pas droit à la moindre erreur. Peut-être qu’une bonne nouvelle remonterait le moral des troupes ? Ou même le sien, d’ailleurs…C’est donc remplie de doutes mais décidée à clarifier certaines choses que Nathalie sortit du Quartier Général, habillée comme en plein hiver ; des bottines remontant jusqu’au-dessous des genoux, un jean bleu-gris, un chemisier blanc, un gilet noir, une écharpe rouge-bordeaux et, naturellement, sa cape noire. Si cela était surprenant ? Pas du tout ! Il était près de minuit et tout le monde sait qu’il a beau faire chaud la journée, le froid se charge de chasser la chaleur une fois la nuit tombée pour rappeler son existence. Ce n’était pas trop désagréable, surtout avec toutes ces couches, mais Nathalie avait soudainement une profonde mélancolie, ou tristesse, à vous de voir, par rapport aux sans-abris. Ils devaient mourir de froid et rien que le fait de passer devant l’un deux le lui fit remarquer. Un sorcier ? Non, un moldu. Elle était passée par les rues moldues pour pouvoir rejoindre la cachette tant convoitée par les mages noirs, même si elle aurait pu passer par les quartiers sorciers sans le moindre problème. Pourquoi ne pas l’avoir fait ? Tout simplement pour éviter d’attirer les regards sur elle, pour éviter que quelqu’un la connaissant ne la surprenne dans la rue où elle se les rues étaient désertes. Les sorciers et moldus dormaient tous paisiblement, sans soupçonner la présence de mangemorts, ou même de mages noirs, dangereux dans les environs. Regardant à travers une fenêtre, Nathalie remarqua un couple endormi dans un divan avec un enfant dans les bras de la jeune femme – sûrement la mère. Ils n’avaient pas l’air terrifiés, ils semblaient seulement… Calmes. Mais comment pouvaient-ils l’être avec le Ministère de la Magie ? Ils n’étaient donc pas touchés par toute cette histoire ? Ils ne craignaient pas d’être, un jour, privés de leurs pouvoirs sous prétexte du mauvais sang » coulant dans leurs veines ? Bon, d’accord, elle allait un peu loin dans ses suppositions mais elle ne se souvenait plus de la dernière nuit qu’elle avait passée sans stresser, sans s’inquiéter. Mais elle ne devait pas oublier que, contrairement à cette famille de sorciers, elle était au centre de l’action, à combattre le Mal tous les jours, elle voyait tout à chaque fois et pas uniquement ce que les journaux donnaient à voir. La censure de la presse… Sans doute la presse était-elle contrôlée par le Ministère elle aussi ?Voilà. L’Ex-Gryffondor était arrivée à destination. Pour commencer ses recherches et trouver la personne qu’elle voulait, rien de mieux que l’Allée des Embrumes, le lieu de rassemblement de tous les mages noirs. Elle ne savait pas où exactement chercher dans cette allée mais elle guère de temps ne lui fut nécessaire Sorel, le sorcier qu’elle espionnait, se trouvait à quelques mètres d’elle, accompagné d’une femme à l’allure étrange, mais peu sûre d’elle après vérification. L’homme prénommé Sorel était habillé tout de noir, dégageait une odeur nauséabonde et avait une barbe de cinq jours facilement. La jeune femme, quant à elle, avait des cheveux bruns assez longs, était de la même taille de Nathalie à première vue et de corpulence relativement mince. Deux personnes ? Ce n’était pas prévu au programme, mais il fallait s’adapter. Ils passèrent tout près d’elle et continuèrent leur chemin. Une fois assez éloignés, elle se mit à leur poursuite le plus calmement possible et les vit, de justesse, entrer dans un bar dont l’écriteau était… Rouillé ? Oui, cela ressemblait à de la rouille. Le bâtiment était également rongé par les termites et noir de poussière. L’envie d’entrer là-dedans n’était vraiment pas au rendez-vous mais… Avait-elle le choix ?L’inconnue – Dis-moi, c'est juste ça , le centre ? Je suis étonnée. »Entrant, Nathalie s’installa à la table la plus proche possible des deux personnes citées plus haut, cachant son visage grâce à la capuche de sa cape – il faut dire qu’elle est connue chez les mangemorts, ce n’est pas le moment de se faire repérer. Elle essayait d’entendre la discussion qu’ils avaient, ils parlaient d’un centre »… Qu’était-ce ? De plus, la voix de la jeune femme n’était pas inconnue à l’Ex-Gryffondor, peut-être s’était-elle trompée de cible ? Elle ne savait plus où elle avait entendu cette voix, mais ce timbre lui semblait familier. De loin, je l’avoue, mais cela ne changeait pas grand-chose. Puis, sans crier gare, le barman s’approcha d’elle en lui demandant ce qu’elle prenait. Commander quelque chose ici ? Hors de question ! Elle avait pris un journal pour se cacher et fit simplement un geste négligeant, lassé de la main pour faire partir le sorcier. Quand elle releva la tête, ils n’étaient plus là. Pourtant, ils n’étaient pas dehors, elle en était sûre. Ses doutes furent confirmés une bonne demi-heure après Sorel et la jeune femme sortirent d’elle-ne-savait-où et firent un signe en guise d’au revoir au barman avant de sortir du dépêchant de sortir quelques minutes après pour ne pas paraître suspecte, Nathalie marcha à vive allure pour essayer de rattraper les sorciers qu’elle venait de voir tourner au coin de la rue. Une fois arrivée à ce même coin, elle s’arrêta net en les voyant contre le mur, forts proches. Sortaient-ils ensemble ? Ou alors la jeune femme menaçait-elle Sorel et Nathalie s’était alors trompée ? Mais pas le temps de réfléchir, il fallait agir. La nuit était glaciale, l’atmosphère également et, pour couronner le tout, elle sentait comme une sueur froide l’envahir à mesure que le temps passait elle ne savait plus qui suivre. Et voilà qu’ils bougeaient, et se séparaient qui plus est ! Ni une ni deux, elle continua la rue en suivant seulement Sorel à petits pas précipités. Elle avait perdu la jeune femme. Où était-elle passée ? Bizarrement, l’Ex-Gryffondor se sentait épiée, peut-être même démasquée à cause de son refus de commander dans le bar. Ou peut-être n’avait-elle pas été assez discrète lorsqu’elle s’était arrêtée net ? Quoi qu’il en soit, sa baguette n’était pas loin, son visage était caché, Mione était prévenue. Elle ne risquait… Presque rien. Anna RidePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Ride, le Dim 24 Juil - 1435 Trempant le bout de ses lèvres dans la boisson répugnante elle remarqua que Sorel et le barman discutaient silencieusement. Faisant mine de ne pas s'y intéresser, Anna tourna un peu la tête pour écouter ce qu'il se tramait entre les deux énergumènes. Mais les clients du bar étaient bien trop bruyant alors elle n'entendit pas grand chose, voire rien du tout.** Mais ça n'va servir à rien cette sortie là... **Elle pensait qu'il était peut-être préférable de rentrer. De toute façon elle n'allait certainement rien apprendre de plus ce soir. Si c'était pour se taper des boissons aux couleurs bizarres toute la soirée, autant qu'elle parte. Elle se tourna vers Sorel pour lui dire qu'elle était impatiente et qu'elle voulait quitter les lieux. Mais il ne lui laissa pas le temps d'ouvrir la bouche et lui saisit le poignet pour l'emmener derrière le comptoir où une petite porte était dissimulée. Hé oh, tu m'fais mal ! »Mon dieu, qu'allait-ils faire d'elle là d'dans ? Anna et les deux compères descendirent des marches d'un pas rapide dans un couloir étroit et humide. Une pauvre ampoule éclairait celui-ci et donnait un air lugubre à cet endroit. Arrivés en bas des marches, Sorel lâcha le poignet de la jeune femme et pointa sa baguette en hauteur. On ne voyait rien, rien du tout de ce qu'il y avait là où ils étaient à présent. Un sortilège informulé fit soudainement apparaître tout le contenu de cette pièce... Et quelle ne fût pas la surprise de la jeune Auror en formation lorsqu'elle remarqua ce qu'il se tramait dans les sous-sols de cette elfes de maisons par dizaines étaient en train de travailler à la chaine, un esclavagisme sans précédent qu'Anna n'avait jamais vu auparavant. Ils étaient sales, dénutris et avaient l'air bien faible. Que faisaient-ils là ? Pourquoi ? Que fabriquaient-ils ? Que... Qu'est-ce qu'ils font ? »Anna avait la gorge serrée, voir toutes ces pauvres créatures maltraitées lui faisait de la peine. Elle n'avait qu'une envie tous les délivrer de leur fidélités envers ces immondes personnages. Elle regarda Sorel avec un air interrogateur, essayant de garder son sang froid. Il lui expliqua qu'ici, ils fabriquaient de faux objets de magie noire pour les revendre à un prix hors du commun aux plus naïfs. Les elfes travaillaient sur des capes d'invisibilité foireuses, des armes magiques déficientes. Les trafiquants comptaient mettre à profit leur manigance pour se faire énormément d'argent. C'était ridicule ! Ils ne pensaient donc pas aux représailles de tous ces sorciers qui allaient leur acheter tout ça, se rendant compte par la suite que ce n'était qu'une piètre copie ? Ils étaient complètement inconscients... De simples petites falsifications, voilà ce qu'ils faisaient. Je pense que la demoiselle en a assez vu. On s'en va. »Sorel poussa la blondinette-devenue-brune hors de la pièce, en direction des escaliers. Elle remonta rapidement les marches et ouvrit la porte pour se retrouver à nouveau derrière le comptoir. Le sorcier fit un signe de main au barman en guise d’au revoir et indiqua à Anna la sortie, d'un coup de menton. Quelque chose n'était pas normal... Avait-il découvert qu'elle n'était pas ce qu'elle semblait ? Inquiète, elle suivit Sorel qui tourna au coin d'une rue sombre en réfléchissant à comment elle pourrait bien se sortir de cette mêlasse. Il la plaqua contre un mur, se mit en face d'elle et mit sa main droite à côté de son visage, contre la pierre froide. Son visage était à quelques centimètres d'Anna, elle pouvait sentir son haleine chaude et puante. Un jour, elle lui apprendrait à se laver les dents plus d'une fois par mois. Si je découvre que tu as parlé de tout ça à quelqu'un, je te tue. Tu sais que je n'plaisante pas, n'est-ce pas ? »Il avait prit un ton arrogant et accusateur, la regardant avec des yeux pétillant de menace. Elle hocha la tête, sans un mot, lui montrant qu'elle avait effectivement bien compris. Il approcha son visage un peu plus du sien. Elle crut d'abord qu'il allait poser ses lèvres dégoûtantes sur les siennes mais celles-ci se dirigèrent vers son oreille droite il lui murmura quelques mots. Quelqu'un les suivait, d'après ce qu'il disait. Anna jeta un rapide coup d'oeil sur sa droite et remarqua une ombre un peu plus haut dans la rue. Elle pensa directement à un sorcier qui avait dû acheter quelque chose à Sorel et qui voulait se venger. Il lui ordonna de s'en aller, il devait se séparer et attaquer cet individu par surprise. Pardon ?! Attaquer ?! Non mais non, elle n'avait pas le droit de faire ça, elle n'était pas encore apte à... Le sorcier ne lui laissa pas le temps de réfléchir et commença à se séparer d'elle pour continuer à avancer dans la ruelle. Quant à Anna, elle se dirigea d'un pas précipité dans une rue en parallèle. Qui était donc cette personne ? Il fallait qu'elle sache. Contournant le petit pâté de maison, elle finit par se retrouver à nouveau au bout de la ruelle où elle était quelques secondes plus tôt avec Sorel. Marchant d'un pas silencieux derrière l'inconnu, elle le suivait à quelques mètres. Hm, il avait donc décidé de suivre le sorcier. La première impression d'Anna sur le fait qu'il devait sûrement vouloir se venger semblait être la bonne. Intriguée, elle continua de suivre le cagoulé. Ou peut-être, au contraire, voulait-il acheter des choses au sorcier ? Tout en longeant les murs en pierres des maisons entourant la rue, elle shoota dans un caillou qui alla ricocher sur les pavés. Anna se rangea dans l'encadrement d'une porte, espérant ne pas s'être faite plusieurs minutes elle continua de suivre l'inconnu, jusqu'à ce qu'il tourne à l'angle d'une maison où elle le perdit de vue. Puis, pressant le pas pour rejoindre l'endroit qu'elle ne pouvait pas voir, elle vit une lueur et entendit un bruit sourd. Un sortilège ? Mince, il se passait quoi là ? L'inconnu avait attaqué Sorel ? Non... Peut-être était-ce l'inverse ? Elle ralentit et se colla contre contre la maison pour ne pas être vue, puis avança à petits pas jusqu’à l'angle. Elle attendait d'entendre un quelconque autre sortilège ou une discussion pouvant lui permettre de comprendre ce qui était en train de se passer. C'était un peu le bordel, si jamais sa Chef apprenait qu'elle s'était mise dans cette situation sans sa permission, elle allait se faire taper sur les doigts. Invité Re Minuit, l'heure du le Ven 29 Juil - 009 Nathalie continuait de suivre Sorel, après son étrange séparation d’avec la jeune femme. Elle avait l’impression de courir droit vers un guet-apens sans même avoir pris une seule mesure de protection. Pourquoi ne pas avoir suivi la jeune femme qu’elle avait vu rôder avec son suspect » ? Peut-être savait-elle des choses, et cela aurait évité à l’Ex-Gryffondor de prendre de tels risques. Enfin, elle ne pouvait revenir en arrière, elle devait aller jusqu’au bout et suivre cet homme pour savoir où il se rendait avec autant de rapidité. A vrai dire, elle hésitait à continuer. Peut-être valait-il mieux revenir un autre jour ? Venir sous Polynectar pour ne pas se faire repérer aussi bêtement que cela ? Elle ne savait réellement pas quoi faire, mais pourtant, ses jambes continuaient. Elles la faisaient avancer, encore et cette impression d’être suivie ne quittait pas Nathalie. La jeune femme qui était avec Sorel était-elle restée dans le coin ? L’avaient-ils grillée depuis le début, lorsqu’elle s’était arrêtée net sans prendre garde à qui la verrait ? Sorel marchait encore, continuait à s’enfoncer dans les ruelles sombres et morbides, voire presque glauques. Il le faisait exprès, ce n’était pas possible autrement. Elle était presque sûre d’avoir été repérée depuis un bon moment et ils ne la faisaient marcher que pour avoir toutes leurs chances de l’avoir lorsqu’ils s’arrêteraient enfin, et qu’elle non parce que prise dans son élan. Tout cela pris en considération, elle pouvait continuer et avait déjà sorti sa baguette pour attaquer au moindre sort jeté contre elle. La moindre lumière jaillissante vers elle, elle riposterait, elle était prête. Surtout que, à peine deux minutes après cette prise de décision, elle entendit un pied fouler le sol avec un manque de délicatesse évident il avait fait bouger une pierre sans grand ménagement. Elle avait donc bel et bien raison ils ne s’étaient séparés que pour mieux se présent sûre et certaine d’être en train de foncer droit vers un piège, Nathalie ferma les yeux quelques secondes et tourna à l’angle d’un énième mur où elle tomba nez à nez avec… Sorel. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, un sortilège fusa en la direction de la jeune femme qui riposta automatiquement avec un Reversus. Ce qui eut pour effet de mettre temporairement le suspect » chaos car il ne s’attendait pas à rencontrer une quelconque résistance. L’Ex-Gryffondor s’empressa d’aller près de lui, le prenant alors par le cou avec sa baguette pointée dessus. Ce qu’elle attendait ? La jeune femme qui était avec lui, bien sûr. Elle était certaine que la personne qui avait passé son temps à la suivre, pendant qu’elle-même suivait Sorel, n’était autre que la jeune inconnue. Mais que faire ensuite ? Ils avaient l’air de s’apprécier, et beaucoup, mais du pur chantage serait stupide étant donné qu’elle n’avait pas grand-chose à échanger. Echanger Sorel contre quoi ? Des réponses, bien sûr !Des pas ne tardèrent pas à se faire entendre. Elle approchait. Enfin. Peut-être que suivre Sorel n’avait pas été une si mauvaise idée en fin de compte, puisqu’elle aurait sans doute ce qu’elle voulait si ses soupçons étaient fondés. Peu de temps après, une silhouette apparut en s’arrêtant presqu’aussitôt à la vision de Nathalie tenant son être aimé. Dans la pénombre, la réaction de la jeune femme était relativement difficile à observer, mais pendant une fraction de seconde, l’Ex-Gryffondor crut voir du… Soulagement ? Pourquoi cette inconnue serait soulagée de la situation ? Son conjoint était tout de même dans une mauvaise posture, elle aurait dû être terrifiée, voire en colère ! Quelque chose ne tournait pas rond, peut-être était-ce un autre piège et Nathalie s’était fait avoir comme une débutante, s’il avait utilisé un clone. Mais un clone n’aurait pas réagi, un clone ne se serait pas débattu comme le faisait ici Sorel ? Si ? Du calme ! Les choses se déroulaient parfaitement bien, elle avait adapté son jeu à la situation et tout s’arrangeait, même si le dénouement était quelque peu – Bon, voilà ce que je propose. Je vous rends votre compagnon en échange de quelques réponses à mes questions. Et arrêtez de me prendre pour une débutante, j’ai de l’entraînement, donc pas de coup ne restait plus qu’à attendre la réponse de la jeune femme se trouvant en face d’elle. Le ton de sa voix avait été assez froid, ce qui ne la ressemblait guère, mais Nathalie n’avait pas le choix. De plus, le visage de la jeune femme ne lui était pas étranger à cent pour cent. Où avait-elle bien pu le voir ? Peut-être pas les cheveux, les yeux, le visage en entier, mais… Certains traits ne lui étaient pas inconnus. Où avait-elle bien pu voir ce visage ? Pourtant, cette voix, jamais elle ne l’avait entendue. Elle en était sûre. Ou presque. Dans quelques secondes, elle serait fixée. Il fallait dire que c’était là son seul échappatoire, sinon elle ne savait comment s’en sortir. Mais après ? Une fois qu’elle aurait ses réponses, comment s’échapper ? Un elfe ? Ou le Gallion d’Urgence ? Ils n’allaient pas la laisser partir comme cela. Mais pour l’instant, attendons…[HJ Voilà. Désolée, RP pourri de chez pourri, je l’aime pas du tout T_T J’ai essayé de trouver un dénouement intéressant à explorer et te laissant le choix de trahir ou pas, donc à toi de voir. Promis, je me rattrape au prochain !] Anna RidePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Ride, le Dim 31 Juil - 1610 Collée contre le mur, l'Auror en formation n'entendait plus un bruit. Que devait-elle faire ? Foncer dans le tas quitte à se faire repérer auprès de l'inconnu ? Ou bien devait-elle simplement rester en retrait ? L'affaire était devenue compliquée. Non seulement elle ne pouvait pas combattre avec de Sorel étant donné qu'elle n'était pas du côté obscur de la force magie, mais elle ne savait pas non plus ce que représentait l'homme ou la femme qu'elle était en train de suivre et ne pouvait donc pas, en conséquence, combattre contre le mage se déroba finalement du mur où elle était accolée et se mit à découvert. Analysant rapidement la situation elle constata que le sorcier était en piètre posture. L'inconnu le tenait par la peau du cou, pointant sa baguette sous son menton. De prime abord tendue, l'ex-blonde finit par baisser ses épaules en étant presque soulagée. Au moins, elle n'aurait pas à attaquer la personne se cachant derrière cette capuche. Bon, mais maintenant, que devait-elle faire au juste ? Si elle défendait Sorel, elle risquait fortement de mettre en colère l'encapuchonné. Mais si elle se mettait de son côté, le trafiquant verrait clair dans son jeu et elle ne donnait pas cher de sa peau. Bon, voilà ce que je propose. Je vous rends votre compagnon en échange de quelques réponses à mes questions. Et arrêtez de me prendre pour une débutante, j’ai de l’entraînement, donc pas de coup fourré. »Une voix féminine vint percer le silence de l'ambiance oppressante qui régnait entre les trois protagonistes. Oh, l'inconnu était donc une inconnue. Mais qu'avait-elle insinuer là ? Son compagnon ? Elle avait dû mal regarder l'allure et le visage de l'homme qu'elle tenait entre ses mains. Peut-être avait-elle simplement cru qu'ils se bécotaient lorsqu'ils étaient contre le mur... Erk, quelle horreur. Ne sachant trop que faire et étant dans une position des plus désavantageuse, elle se mit à réfléchir aux options qui s'offraient à elle. Elle ne pouvait décidément pas répondre aux questions de la jeune femme étant donné qu'elle dévoilerait sa condition d'Auror et c'était impensable. Elle n'avait pas spécialement envie de récupérer Sorel, par ailleurs, car elle venait de découvrir qu'il n'était pas ce qu'il semblait être. Tout en pesant le pour et le contre, elle empoigna sa baguette dans sa poche, tout en s'obligeant à rester des plus discrètes. Certes, elle n'avait pas le droit d'engager les combats, mais rien ne lui interdisait de se défendre si quelqu'un venait à lui jeter un sortilège. Mais ça, la demoiselle sous la capuche n'était pas censée le savoir étant donné qu'elle la prenait pour quelqu'un d' sûre et certaine qu'elle allait regretter son geste à venir, elle pria de toutes ses forces pour ne pas se faire tuer. Bah ouais, elle était trop jeune pour mourir bêtement en s'étant mise elle-même dans cette mêlasse. D'un geste brusque et rapide elle pointa sa baguette en bois clair sur l'inconnue. Elle pût rapidement constater sous la lumière d'une vieux lampadaire que Sorel esquissa un sourire de satisfaction, s'imaginant peut-être que les deux jeunes femmes allaient se battre. Ce qu'elle venait de faire était un peu kamikaze étant donné que la jeune femme retenant le sorcier avait l'air d'avoir de l'expérience. Mais qui ne tente rien n'a rien. Je n'ai pas dans l'intention de répondre à vos questions. Laissez-moi partir, c'est lui qui vous intéresse, non ? »Bon, elle avait à moitié choisi son camp, finalement. Les yeux du mage noir devinrent noirs de fureur. Il devait certainement se sentir trahi par la brune avec qui il avait passé du temps depuis plusieurs semaines. Bien qu'un peu sonné - la jeune sorcière sous sa cape avait dû lui jeter un sort tout à l'heure - il se mit à fulminer quelques insultes en direction de la Poufsouffle. Bah quoi ? Après tout, elle avait eu ce qu'elle voulait et n'avait plus du tout envie de se mêler de cette histoire. Qui pouvait bien être la jeune femme ne lui intimait guère. Quoiqu'elle se demandait bien pourquoi elle avait attaquer si soudainement. Et quelles étaient donc toutes ces questions qu'elle souhaitait poser ? Impossible qu'elle soit, elle aussi, en train de prendre en filature le sorcier...De plus en plus inquiète par la tournure que prenait les choses, elle ne put s'empêcher de faire quelques pas en arrière pour rebrousser chemin, tout en gardant sa baguette droit sur l'inconnue. Après tout, il était fort probable que la demoiselle voulait simplement arracher les tripes du mage noir tout en s'occupant de sa "compagne" après coup. Mais pourquoi avait-elle acceptée cette mission, pourquoi ?! Rah, il fallait toujours qu'elle accumule les brise légère et glaciale vint ponctuer ce moment de tension et, profitant d'un probable moment d’inattention de la part de l'encapuchonnée, Sorel se dégagea des bras de la sorcière et se planta sur ses deux pieds, pointant à son tour sa baguette dans sa direction. Ils étaient donc deux, à pointer vers elle leur morceau de bois magique et il était fort probable pour que le sorcier n'attende pas très longtemps pour attaquer. Un peu prise de court, Anna ne savait plus si elle devait continuer de viser la jeune femme ou s'il fallait plutôt qu'elle s'intéresse à son accompagnateur. Se mordillant la lèvre inférieur, elle finit par détourner son angle de tir de quelques centimètres afin de le diriger vers Sorel. Celui-ci n'en fut que plus énervé, hurla un "Tu te fous de moi ou quoi ?! Sale garce !" et ne mit pas longtemps pour se mettre à viser la jeune Auror en formation. Paniquée et complètement dépassée par les évènements, elle espéra l'espace de quelques instants que le sorcier n'attaque pas et que la demoiselle dont il s'était échapper allait finir par comprendre que, non, ils n'étaient pas amants.[HRP J'ai fait ce que j'ai pu, je ne suis pas très fière de ce RP mais bon. J'espère que la fin ne te déplait pas trop, sinon tu me dis 3] Invité Re Minuit, l'heure du le Mer 10 Aoû - 2331 [HJ Voilà, à mon tour de m’excuser pour la petite attente ^^ Et, pour la précision, je considère que le RP pas super méga génial, désolée >< Si tu n'as pas d'idée pour répondre, MP et j'éditerai demain =]Inconnue – Je fais partie d'une organisation. Vous aussi, à ce que je vois. Pour qui travaillez-vous ?Pardon ?! Ouhlà, il y avait comme un problème inattendu. Jamais Nathalie n’aurait pensé que cette jeune femme faisait partie d’une organisation. Et, à sa connaissance, il n’y avait que les Aurors qui étaient illégaux et qui pouvaient donc se prétendre comme en étant une. Cette inconnue était donc sûrement une Auror, ce qui expliquait son allure familière. Mais ses cheveux étaient différents, de même pour ses yeux sans doute. Mais la jeune femme n'était sûre de rien. Cependant, dans cette optique, tout s'expliquait. C’était pour cela qu’elle ne l’avait pas reconnue plus tôt, qu’elle avait pensé croiser une nouvelle mangemorte ou future mangemorte. Pour l’instant, la chef de l’Ordre du Phénix s’était mise dans de beaux draps. Elle ne pouvait rien dire sans prendre le risque de mourir, surtout vu son statut. Elle allait répondre à l’Auror lorsque, soudain, une bourrasque de vent faillit faire tomber la capuche qui permet de camoufler son visage. Directement, Nathalie tourna la tête et se recula de manière à être totalement dans le noir, remettant sa capuche sur sa tête, et dit Nathalie – Expelliarmus ! Non. Je ne peux rien dire et je ne dirai rien. D’ailleurs, si vous faites partie d’une… organisation, comme vous dites, que faites-vous ici ? Ce n’est pas vraiment un endroit fait pour quelqu’un comme paroles de Nathalie laissaient croire qu’elle ne croyait pas un seul mot de ceux que la jeune femme en face d’elle avait prononcé. Bien sûr, elle avait tout deviné et le sous-entendait très fortement mais si elle pouvait, à son tour, déstabiliser l’Auror et lui faire peur… Pourquoi pas ? Il fallait trouver un compromis. Peut-être que l’Auror n’avait rien à perdre, mais elle voulait sûrement que certains détails restent secrets. Et la jeune femme l’avait suivie pendant un bon moment, elle avait pu voir pas mal de choses et en avait entendu encore davantage. L’une comme l’autre était dans le pétrin, elles ne pouvaient donc que trouver un terrain d’entente pour protéger leur identité, leur appartenance à un quelconque groupe et, surtout, leur présence en ces lieux on ne peut plus louches. Mais que dire, que proposer ? L’Ex-Gryffondor cherchait encore et encore à toute vitesse une solution pouvant convenir. Il fallait qu’elle pousse son adversaire » à accepter ce compromis, à se sentir menacée à son – Ecoutez. Je suis venue ici dans le seul but d’avoir des informations sur cet homme. Je ne voulais rien d’autre. Alors, répondez à mes quelques questions et j’oublie même jusqu’à votre présence en ces lieux. Cette discussion n’aura jamais existée et je ne vous aurais jamais vue. Vous avez autant à y perdre que moi si vous refusez cette que Nathalie disait était vraiment nul. Elle n’avait jamais su mentir, encore moins marchandé. Enfin, ici, elle ne disait que la vérité ; si jamais elle rentrait chez elle en s’en étant très mal sortie, elle allait enquêter sur cette jeune femme et tout révéler à sa chef. Elle savait qu’elle faisait partie des Aurors, ce qu’elle ignorait était son nom et son prénom. Mais l’Ex-Gryffondor avait beaucoup trop à perdre si elle se faisait prendre. Vous savez, ce défilement d’images lorsque l’on est sur le point de mourir ? Voilà ce qu’il se passait dans la tête de la jeune femme. Jamais elle ne devait révéler son identité à quelqu’un, elle devait se protéger coûte que coûte. Même si elle avait ses dons de legilimancie et d’occlumancie en horreur, s’il le fallait, elle les utiliserait. Mais jamais elle n’allait se trahir, elle ne pouvait trahir l’Ordre du Phénix de par la place qu’elle y occupait. Elle priait pour que l’Auror accepte le compromis, au risque de devoir lui dire qu’elle avait fait un Serment. Mais dévoiler une telle information risquait, cela aussi, de la trahir car certains mangemorts étaient au courant de cette histoire. Non, elle ne pouvait pas non plus. Mais partir ou s’attaquer tout simplement à cette Auror ? Si cela était nécessaire, Nathalie le ferait. Mélina KudersLégendePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Kuders, le Ven 14 Oct - 1833 [RP avec Anaelle Etlyne]Le bruit de ses talons claquait sur les pavés de l'Allée des Embrumes, vêtue d'une cape noire, dont la capuche recouvrait sa tête et une bonne partie de son visage, seules quelques mèches de ses cheveux ondulés sortaient de sa capuche. Un léger vent s'était levé, en cette nuit de pleine lune, l'ancienne auror était assez pressée, elle avait un rendez-vous d'affaire, au bar des Ténèbres, avec la gérante, plus précisément. Cette dernière l'avait contacté par hibou, apparemment, elle avait besoin de ses talents de créatrice de potions...une histoire de cœur, d'après ce qu'avait sous entendu Miss Adams. La gérante du Sanglier Rieur ignorait totalement comment cette jeune femme avait entendu parlé d'elle...surtout que Mélina était loin de faire de la publicité, pour ce genre d'activité...pas très joli joli, pour un ancien membre du ministère...mais bon fallait bien qu'elle s'occupe et comme l'art des potions n'avait plus aucun secret pour elle...elle ne disait pas non, il lui suffisait de faire profil bas, en passant inaperçu...chose qui lui était très pour cette affaire, elle avait décidé de venir sous sa véritable apparence, elle savait qu'elle ne risquait rien, elle avait rendez-vous après la fermeture du bar, selon ses propres exigences car, elle ne voulait pas attirer les regards des autres clients, son portrait avait suffisamment la une des journaux... et pourquoi ne pas arriver sous une autre apparence? cela résoudrait bien des soucis, mais c'était une demande de la propriétaire qui connaissait son visage et qui pour des questions de confiance voulait être sur d'avoir affaire à la bonne personne et non un charlatant...oui bon cherchez pas comprendre....Dire que quelques mois plus tôt, elle aurait refusé de faire cela, afin d'éviter les problèmes de part ses fonctions de chef des aurors, aujourd'hui, elle s'en fichait complètement, elle n'avait de compte à rendre à personne et personne n'avait de compte à lui rendre, c'était fini. Si elle croisait une patrouille d'aurors de l'Allée des Embrumes, en train d'affronter une bande de voyoux, elle les laisserait certainement se débrouiller, dans la plus grande indifférence. Cela pourrait être très surprenant venant d'elle, surtout qu'elle aimait prendre part au combat et qu'elle connaissait de nombreux aurors qui étaient déjà en fonction, lorsqu'elle en faisait parti et dont certains étaient des amis proches...mais elle était dans sa phase égoïste telle une adolescente qui faisait sa crise, cette attitude, elle l'assumait...même si elle pouvait être mal arrivée à destination, elle entendit un bruit venant d'une ruelle environnante, est-ce un chat errant, des individus faisant affaire...elle l'ignorait, mais sa curiosité la fit faire marche arrière, une ombre sortit...la main sur sa baguette...elle attendit silencieux. Invité Re Minuit, l'heure du le Dim 16 Oct - 204 Assise sur un banc, à la seule lumière du clair de lune, une ombre se fondait doucement dans l’obscurité ambiante du village des sorciers, désert à cette heure-ci dans ce petit bout de parc éloigné du centre ville. Hormis un hululement d’un hibou qui se faisait entendre au loin, le silence régnait. Un silence lourd, pesant. Un silence jambes repliées sur son buste, la tête posée sur les bras posées sur ses genoux, Anaelle scrutait la lune d’un air absent, son regard tombant dans le vide de temps en temps. Plongée dans ses souvenirs, Anaelle avait un sourire triste, amer. Ces derniers temps, la jeune femme s’était faite plus discrète et s’était réfugié dans un cocon réconfortant crée par ses deux compères, Cliodhna et Damian leur maison, à tous les trois, loin de tout, dans un autre univers, le leur. Après tout ce qu’il s’était passé dans sa vie professionnelle et sentimentale, elle avait eu un besoin pressant de recul. Avec ce qu’il se passait avec Thomas et leur relation qui n'existait plus, malgré la souffrance évidente de la jeune femme, ce qu’il se passait chez les Aurors et au Ministère, Anaelle se sentait perdue face à ces évènements, totalement à la ramasse c’était sans doute la raison pour laquelle elle avait demandé une trêve à Celeste pour lui laisser le temps de repartir sur de bonnes bases, le temps d’être prête pour redevenir active et performante. Trop de choses s’étaient passés rapidement et trop de changements brutaux pour qu’elle puisse tout comprendre. Elle avait eut une attitude lâche, mais elle n’avait pas trouvé d’autres alternatives à sa détresse émotionnelle. Un vent frais se leva. Se recroquevillant sur elle-même, Anaelle ferma les yeux dans une crispation de douleur. Ses membres étaient maintenant engourdis et rester dans cette position avec ce froid n’était assurément pas une bonne chose pour elle. Levant les yeux vers la ruelle déserte, Anaelle décida que le temps à flâner ici était révolu. Se relevant doucement, Anaelle s’étira les jambes et chercha dans son sac un manteau pour tenter de se réchauffer. Le passant sur ses épaules, elle se leva dans un petit bond et se mit en route, ne sachant pas réellement où elle devait aller. Elle n’avait aucun endroit précis à l’esprit et elle préféra se référer à son instinct. Le visage baissée, les jambes lourdes, elle se laissa aller dans une ruelle sombre et peu fréquentable. Peut-être était-ce l’amertume qui lui faisait ignorer le danger, ou peut-être tout simplement son assurance en tant qu’Auror mais en tout cas, Anaelle ne s’était pas rendue compte que l’endroit était peu fréquentable et pour le moins assuré elle venait de pénétrer dans un des endroits les plus glauques du village des sorciers, l’allée des Embrumes. Marchant quelques pas, elle se rendit peu à peu compte de l’endroit où elle était tombée. Son instinct était-il pour le suicide, à ce moment précis ? Fronçant les sourcils, elle ralentit le pas et mis tous ces sens aux aguets. Il n’y avait pas, en ce moment, quelque chose à risquer, mais les sorciers étaient d’un naturel tellement imprévisible que la sorcière ne chercha pas à savoir si l’endroit était bel et bien vide avant de sortir sa baguette. Celle-ci était déjà dans la main de sa propriétaire qui la maintenait fermement dans sa main meurtrie par le froid être prête à tout moment était une bonne chose. Après seulement quelques pas, Anaelle entendit un craquement près d’elle. Ralentissant encore plus la cadence et ayant le souffle coupé, Anaelle tendit sa baguette, prête à attaquer la première elle connaissait que trop bien la réputation de cette ruelle, surtout à une heure si tardive. Après quelques instants d’attente et de suspens, Anaelle fit un bond en avant et pointa sa baguette sur la cause de ce bruit. Dans un petit bruit étouffé, une très petite silhouette trop petite pour être un adulte humain et vu l’heure, il ne s’agissait surement pas d’un enfant fit un bond en arrière en même temps qu’Anaelle apparaissait à ses yeux. Les yeux de la sorcière s’étant acclimatés depuis longtemps à la pénombre, elle pu facilement distinguer les traits de la créature face à elle. Avec un hoquet de surprise, Anaelle brisa le silence qui l’entourait depuis quelques heures Golum ! Qu’est ce que tu fiches ici, à cette heure ? Je ne t’avais pas dit de rester à la maison ? Golum, l’elfe de maison d’Anaelle, acheté des mois auparavant. Voyant la colère de sa maîtresse, le petit elfe s’inclina au plus bas et couina d’un air désolé. - Madame, Golum est tellement désolé… Mais Golum s’inquiétait pour Madame, vous savez ! Il se fait tard et à la maison… Tout le monde n’était pas rassuré. Golum venait voir s’il se passait quelque chose, alors il est venu…Voyant la détresse de son elfe suite au reproche qu’elle avait eu, Anaelle se pencha vers lui et lui fit un sourire d’excuse, bien qu’elle ne fût pas contente de le trouver ici à cette heure-ci. - Tout va bien Golum, je te le promets. J’ai juste eu envie de marcher un peu. Rentre maintenant, je ne tarderai pas, promis, elle lui tapota la tête et se redressa, hochant la tête pour souligner ses propos. Tu n’aurais tout de même pas du venir ici, file maintenant ! Et repose toi, j’aurai besoin de toi Mais Madame, Golum était vraiment..., voyant la mimique de sa maîtresse, l’elfe arrêta net sa phrase et s’inclina une nouvelle fois. D’accord Madame. Navré de vous avoir importuné. Mais faites attention, Madame, cet endroit est vraiment pas fréquentable pour une sorcière de votre rang. Au revoir, Madame…Une mimique agrippa le visage de la Blonde suite à cet éloge qu’il n’aurait pas du faire, Anaelle fronça les sourcils pour lui indiquer qu’elle n’était pas contente de sa dernière phrase elle détestait être cataloguée à un rang, quel qu’il soit et surtout, elle détestait recevoir des conseils de ce genre, surtout lorsqu’elle était aussi… lasse. S’inclinant une énième et dernière fois, l’elfe s’évapora dans un pouf » sonore en laissant Anaelle de retour à sa solitude et à son silence. Elle ne reprit sa marche qu’après une ou deux minutes de fixation de l'endroit où était anciennement l'elfe, peut-être plus. Elle pensait maintenant à la maison qui l’attendait et avait oublié qu’elle se trouvait dans l’allée des Embrumes. Elle se laissa alors aller, sa baguette baissée et son regard perdu vers le sol. Ce qui la ramena à la réalité fut un bruit de pas et de mouvement en sa direction. Reprenant tout de suite ses vieux réflexes, Anaelle leva son visage et tomba nez-à-nez avec une ombre encapuchonnée. Pensant tout de suite à un Mangemort, Anaelle fit un pas en arrière et se prépara à assaillir son adversaire. Portant son attention à ce qu’elle pouvait voir de son visage, elle ne put retenir le hoquet de surprise qui la saisit lorsqu’elle reconnut les formes du visage de l’ Mélina ! Amenant sa main à sa bouche, surprise d’avoir parlé aussi fort, Anaelle baissa alors doucement sa baguette. Il pouvait toujours s’agir de quelqu’un d’autre, mais un rapide coup d’œil sur ses vêtements et surtout, sur sa baguette, Anaelle fut rassurée sur l’identité de son adversaire ». La blonde se reprit et toussota doucement, se redressant tranquillement pour signifier qu’elle n’allait rien tenter contre son ancienne chef. - Ca fait bien longtemps qu’on ne s’est pas croisés, Mélina…Sa voix pouvait paraître froide, mais elle trahissait surtout un reproche de la blonde à l’ancienne Auror. Bien que Céleste avait su reprendre parfaitement le commandement des Aurors, Anaelle n’avait jamais pu digérer l’abandon » de la part de Mélina elle qui avait toujours été un modèle pour la jeune femme, elle était parti sans explication et sans chercher à reprendre réellement le contact avec elle. Certes, Anaelle comprenait les raisons du choix de la brune, mais elle avait vraiment subit ce départ comme un abandon, comme si, pour Mélina, les Aurors n’avaient jamais rien signifiés. Elle savait qu’elle se trompait, mais Anaelle avait toujours eu une certaine rancœur, non pas violente et meurtrière, mais plutôt affective Anaelle s’était sentie trahie par son ancienne chef sur qui elle avait toujours compté. La revoir, à ce moment là et à cette heure là, ne l’aidait pas à devenir compréhensive et tout un tas de questions se formulaient déjà dans son esprit, bien décidée, au même instant où elle l’avait reconnu, à ce qu’on lui rende ses comptes. Elle posa son regard, un regard lourd de reproche, sur celui de la jeune femme, ou du moins ce qu’elle pouvait en apercevoir et attendit que celle-ci parle. Tout ce qu’elle espérait maintenant, c’est que l'ex-Auror ne s’enfuit pas ou qu’elle parte comme si Anaelle n’avait eu jamais aucune importance pour elle. Mélina KudersLégendePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Kuders, le Jeu 20 Oct - 2136 Son attente ne fut que de courte durée, dans la pénombre de la ruelle, de l'Allée des Embrumes, une silhouette fit son apparition...cependant, avant même qu'elle n'eut pu distinguer le visage de la personne qui venait de faire son apparition... cette personne prononça son prénom d'une manière très audible. La gérante du Sanglier Rieur fut surprise que cette jeune femme connaisse son nom et d'après le ton, elle était certain qu'elles se connaissaient même très bien.... Sur le coup, elle ne sut pas à qui elle avait à faire, ce timbre de voie lui était familier, mais vu son manque de communication...avec les personnes auxquelles elle tenait, elle n'arriva pas à remettre un nom et un visage sur cette voie, ce qui la mit mal à l' sur la défensive, elle s'approcha de son interlocutrice...jusqu'à qu'elle la distingue, elle reconnut la jolie frimousse d'Anaelle, avec ses traits fins et ses cheveux blonds, un peu ébouriffés. Anaelle!Lorsqu'elle prononça ce nom, son sang se glaça...Mélina se retrouvait face à ses démons...face à une autre de ses amies qu'elle avait mis de côté au cours de ses dernières mois, sans qu'elle leur est donnée la moindre explication...comme si un beau matin, elle pourrait revenir au Ministère...après quelques jours de congés. Elle n'était même pas revenue en personne chercher ses affaires au Ministère, elle avait envoyé son père, oui elle avait envoyé son propre père qui n'avait jamais remis les pieds, dans un haut du monde magique, depuis qu'il avait épousé sa mère. Vous vous doutez bien qu'il avait été retissant à y venir, mais Mélina avait tellement insisté qu'il n'avait pu refusé...ah que voulez-vous, son papa ne savait rien refuser à sa fille le moment, elle ne sut pas quoi dire, et son premier réflexe fut de regarder sa montre, elle se devait d'être à l'heure à son rendez-vous, les affaires n'attendent pas.... Cependant, elle ne pouvait pas simplement lui dire, quel plaisir de te voir, on s'appelle...mais là je dois te laisser...non, elle ne pouvait pas faire ça, elle se devait de faire face à son amie, même si elle risquait à juste titre d'en prendre plein la figure. Elle savait qu'elle serait moins virulente que Céleste, mais elle se doutait qu'elle ne se gênerait pas pour lui dire ce qu'elle pensait... à sa manière, elle se demandait, d'ailleurs, si elle y gagnerait au change par rapport à la chef des aurors. Comment mettre fin à cette situation très embarrassante pour l'ancienne chef des aurors. Surtout que Anaelle se trouvait à présent à quelques pas et qu'elle venait de lancer la conversation, par contre ses paroles furent brèves, apparemment, elle n'avait pas l'intention de faire un long monologue, au grand regret de la gérante qui devait à son tour ouvrir la bouche afin d'en sortir des sons, mais, cette rencontre lui avait couper le sifflet...honteuse de ne pas avoir donné de nouvelles à son amie, elle décida d'en rester oui, en effet, cela fait quelques temps qu'on ne s'est pas vu, ses derniers temps, j'ai beaucoup voyagé, je viens d'ailleurs tout juste de rentrer pour affaire, en parlant de ça, j'ai un rendez-vous important...je suis désolée, mais je dois te laisser, cependant, j’espère te revoir très vite, à nul que ça, tu meurs, le blabla de Mélina fut pitoyable et elle en avait parfaitement conscience...mais elle n'avait pas trouvé mieux et commença à s'éloigner d'un pas lent et Voilà, j'ai lancé la machine Invité Re Minuit, l'heure du le Dim 13 Nov - 105 Toujours debout, Anaelle ne brisa pas le silence qui s'était instauré entre les deux femmes depuis qu'elle avait parlé. 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