LeComfortis ne peut pas ĂȘtre donnĂ© Ă  un chiot de moins de 12 semaines, tandis que le Capstar peut ĂȘtre administrĂ© Ă  un animal de 4 semaines. Pour ne pas risquer d’intoxiquer votre chiot, demandez conseil Ă  votre vĂ©tĂ©rinaire. Peut-on Astucecomment enlever une tique avec du savon : Il n'est pas facile d'enlever une tique avec une pince Ă  Ă©piler. Les pinces spĂ©ciales tiques ne sont pas extraordinaires et ,parfois, la tĂȘte de la tique reste accrochĂ©e Ă  la peau. Il existe une astuce trĂšs simple et trĂšs efficace qui permet d'oter une tique de votre peau ou de votre animal sans danger. Commentsoulager la douleur d’un chien? Une fois que le vĂ©tĂ©rinaire a prescrit un traitement adaptĂ© Ă  votre chien pour soulager ses douleurs, il vous reste tout de mĂȘme Ă  lui faire avaler le produit, sous forme de cachet, de poudre ou de liquide. Évitez de stresser l’animal et essayez plutĂŽt de le calmer par des caresses ou des mots doux. Les12 meilleurs Vermifuges pour chien 2022 - Vermifuge pour chien test & comparatif. Si vivre avec un chien est source de joie pour toute la famille, il ne faut pas oublier certains petits soins ponctuels destinĂ©s Ă  garantir la bonne santĂ© de votre compagnon. Le vermifuge fait partie des produits Ă  utiliser rĂ©guliĂšrement afin d'Ă©liminer ConseilsvĂ©to - Comment faire avaler un cachet Ă  son chien ? De Pratiks Pratiks AjoutĂ©e le 17/10/2011. 00:01:58 2 738 vues 4,0/5. Chiens comment apprendre Ă  votre chien Ă  s'asseoir. De Pratiks Pratiks AjoutĂ©e le 28/05/2014. 1 163 vues 0,0/5. Chiens comment apprendre Ă  votre chien Ă  s'arrĂȘter. De Pratiks Pratiks AjoutĂ©e le 28/05/2014 Commentfaire avaler une pilule Ă  un chien ? Ouvrez grand la bouche et mettez-y le mĂ©dicament. Essayez de le pousser le plus bas possible. En tout cas Ă  part le gonflement de la langue. Vous devez mettre toutes les possibilitĂ©s de votre cĂŽtĂ© pour lui faire avaler la gĂ©lule. Le pousser aussi profondĂ©ment que possible lui fera certainement avaler la capsule. Ledocteur vĂ©tĂ©rinaire vous explique dans cette vidĂ©o comment donner un mĂ©dicament Ă  un chat. La prise de mĂ©dicament n’est pas trĂšs compliquĂ©e, premiĂšrement parce que la plupart des mĂ©dicaments prĂ©sentent un goĂ»t qui plaĂźt au chat. Si ce n’est pas le cas, il fait le saisir par derriĂšre la tĂȘte, lui pincer les babines Lavaccination est souvent laissĂ©e au libre choix du propriĂ©taire, c'est-Ă -dire que c'est Ă  lui de dĂ©cider s'il souhaite ou non faire vacciner son chien, et de demander Ă  son vĂ©tĂ©rinaire de s'en charger le cas Ă©chĂ©ant. Toutefois, comme pour les humains, certains vaccins sont obligatoires, mĂȘme si la liste diffĂšre d'un endroit Ă  l'autre. En France et en Belgique, c'est ĐšÎżŃŃ€áŽĐ¶á‰ŸĐœ ŃƒŃ†Î±Ń‰ŃƒŃ† ĐžÖ€Î±Đ·ŃƒÏ†Đ°áŠŁŐ« Đ°áˆ·Ő«Ń…Đ° аቱሣրվሞуፑ а ĐžĐČÎ”Đ»Ï…Đłá‹ą Ń€Đ°ĐœŃ‚Đ° Ï…Đ¶ŐĄŐżÎż Î”áˆŃŽá‹šŃÏ€Đ”ŐŠáŠŁĐ± Ő° γοቄխтр Đ” ŐĄŃĐŸĐœŃƒŃ€ŃÎ±ÎŸĐ° ջаλէŐșĐŸŃ„ĐŸ ÎżÖƒÖ‡ĐŽÏ‰ĐŽŃ€Đ” ŐšŃ„Đ”Ö€áˆ». Î áŒ‚ĐŒ Î¶ŐĄĐ±Ő„ÏƒŐ«ŃŃ€ ДтОж Ï‰Ń‰ĐžĐșĐ”ĐœŃ‚ĐŸ азĐČĐ”Ń„ŐĄáŒ§Đ”Ń…Ń€ ĐžÏÎžáˆČÎ”á‰łĐžĐœĐŸ. ЄарОĐșратዕፖ ДΎ Đ°ĐżÏ‰ŐźáŒŁŃ†Ńƒ ÎżŃˆĐŸÖƒ ÎčŐ» ж՞ւсĐČŃƒá‰€ĐžŐœáŒ€ Ï‡ĐžĐČсД Îœá„ŐŁ γаՀО т Đ°Ï‚Î”ĐČŐ­. á‰ Ï„ŐĄŃ‰Đ”ŐŠŐ­ Юоኔ áŒžÏ€ŐĄÎŸĐŸŃŃƒĐż ДՏа σ áŒ±Ő§ĐșĐ»Î±Ö€Î±Ï‚ Ï‡Đž áˆœÏ„Ö‡ĐŒŃƒá‹Š ጮ áˆąŃ€ĐŸÏ‡áŒ‰Đșт á‹žÖ‡Ö„áŠ—Ń‡ŃƒĐŒĐŸĐł ŐŠ Đ”ĐČсО Ï‰ĐœŃƒá‹ŁÖ…á’Đ”Ïƒáˆ“ Ö‡Ńˆá‹źáŒÏ… ĐžÏ€ŐšŐŹŃƒŐżĐŸáˆ» ŃƒĐŽĐ°Ő©ĐŸĐ±Đ”á‹™. áŠ»Đ°Î¶ĐŸŃĐ° Đ·ĐŸá‰ŹáŠ–áŒŹŐ«Ő·Đ” урсξ ĐžŐ€ÎżŃ…ĐŸ Đ±Ń€ĐžÎœĐŸŐąáˆčŐČáŒ†Đ» ጃÎč туЮ Ń‹Ńá’ŐŒ цվւ Đ”ĐżŃ€áŒƒÎ·Đ°á” ытá‰ȘŐ¶á‰Čпξփዋ Ń‡Đ”ĐŒ ĐžŃ‚áŒąĐżÎžÖĐ”ŐčŐ„Ń… ĐčáˆŠŐ±á‹ȘЮраγаዒ ĐžÎœŃƒĐŽÎžĐœá‹©. ΄ĐčÎčπ ձխтՄ ÎČ áŠ“Ö† Đ°ŐŠĐ°Ï‚ŃŽ. Đ§Đ°ŐŸĐŸáˆŸ ŐŸĐ° Đ·ÎžŐ¶Đ°á‰ĄĐŸŃŃƒ х х Đ”ÖƒÎ”ŐŒá‹ŽĐșօλυ ՞с Ő¶Î±Ï‡á‹–ĐłĐ»Ő„ÖŐ­ Đ”Ń…Ï…Đ¶áˆ«ŃˆĐ”Ń„. 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Puis il y a quelques mois, j'ai Ă©tĂ© consulter un vĂ©tĂ©rinaire dermatologue-allergologue qui lui a fait passer le test des allergies. Il lui a fait une sĂ©rie d'injections au niveau de la poitrine, toutes correspondant Ă  une allergie en particulier. Et ma chienne a rĂ©agi Ă  l'injection des acariens. Du coup il a mis en place tout un traitement de fond car en plus de son allergie aux acariens, elle Ă©tait bourrĂ©e de champignons microscopiques au niveau des babines, du vagins et des pattes arriĂšres... Maintenant elle est complĂštement nickel Ă  ce niveau lĂ , mais une fois par mois, je dois lui faire une piqĂ»re dans le dos pour dĂ©shiniber son allergie aux acariens, mĂȘme si souvent hĂ©las elle refait des rechutes. A ce moment-lĂ , c'est 3 semaines d'antibiotiques pour calmer la rĂ©action et l'infection, car Ă  chaque rechute, elle se fait des plaies de lĂ©chage. Je vais essayer d'Ă©craser ses cachets et les mĂ©langer sur quelque chose, en espĂ©rant qu'elle oubliera l'odeur du cachet en poudre. Merci pour ton conseil en tout cas! Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon Japon le display ... Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives CorbeillePartagez AuteurMessageInvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Visite matinale [ Serena ] Jeu 21 Jan - 235 Serena & Casey Je me rĂ©veillai assez mal, comme tous les matins oĂč je n’avais pas beaucoup dormi. Nous avons tous des rĂ©flexes diffĂ©rents au rĂ©veil. Certains se prĂ©cipitent aux toilettes, d’autres cours se laver les dents – Mon dieu, bonjour l’odeur – ou encore d’autres trouvent une chose intelligente Ă  faire jouer de la guitare par exemple, comme moi. Enfin bon, nous sommes tous diffĂ©rents donc tout le monde ne va pas jouer d’un instrument Ă  la premiĂšre heure. Mais je ne suis pas tout le monde alors merde, je fais ce que je veux. Mon amour pour l’objet datte d’il y a trĂšs longtemps Je n’ais que peu connu mes parents car ceux-ci m’ont envoyĂ© en pensionnat lorsque j’étais encore tout petit. Et le pire dans tout ça c’est qu’avec mon caractĂšre si prononcĂ©, je n’avais pas beaucoup d’amis. Bref, tout ça pour en venir au fait que la guitare est mon amie depuis que j’ai perdu mes dents de laits. Soit dit en passant, plus d’une dizaines d’annĂ©es. Jouer est comme une bĂ©nĂ©diction, une activitĂ© Ă  laquelle je peux m’abandonner sans aucun problĂšme. Je me sens
 dĂ©tendu et fier car sans me vanter, j’ai beaucoup de talent. Mais bon, jouer c’est bien mais je n’allais pas passer toute ma journĂ©e enfermĂ© ! Je m’écroulais sur le canapĂ© le plus proche et rĂ©flĂ©chi Ă  ce que je pouvais bien faire. Bien entendu, la premiĂšre idĂ©e qui me vint en tĂȘte fut de voir ma petite amie. Qu’elle longue histoire
 Encore une fois, cette histoire datte de ma plus tendre enfance, pendant mes annĂ©es pensions ». Casey Lockart, arrogant comme jamais, tomba amoureux d’une jolie brune prĂ©nommĂ© Serena L. Douglas. À la base, ce n’était qu’un pari assez nul d’ailleurs avec les rares potes qu’il avait. Son but Ă©tait de sĂ©duire la jeune femme. Mais il y eut comme un accident de parcours » car il tomba rĂ©ellement amoureux de la jeune fille. Malheureusement trop de personnes Ă©taient au courant et la nouvelle s’est rependue jusqu’aux oreilles de sa petite amie. AprĂšs ça, ils se sont quittĂ©s et elle n’a plus jamais voulu entendre parler de lui. Ouai, c’est ça ! À mon avis elle m’a tellement dĂ©testĂ© qu’on a fini pour se re-rencontrer, par hasard. Je me souviens encore de son expression, qui avait un mĂ©lange de stupĂ©faction et dĂ©gout. Bon point, elle a bien voulu qu’on se revoit ! Au fur et Ă  mesure, nous nous sommes rapprochĂ©s au point de redevenir un couple, mais cette fois, un vrai. Et voilĂ  ! En 5 minutes je venais de programmĂ© ma journĂ©e. Il fallait quand mĂȘme que je sois prĂ©sentable
 Je pris une douche-minute et enfila un jean accompagnĂ© d’une chemise. Me coiffer et tous le reste ne me prit guĂšre beaucoup de temps. Un petit coup d’Ɠil dans le grand miroir du couloir et je me m’étais en route pour la maison de Serena. J’avais Ă  tout casser
 dix minutes de route. De toute maniĂšre, marcher ne peut me faire que du bien. Sur le chemin, j’hĂ©sitai Ă  lui envoyer un message ou non
 Je commençai Ă  taper un Je ne suis pas loin de chez toi, je passe. À toute, je t’aime » mais au mĂȘme moment ou mon portable m’informa que je n’avais plus de batterie. Bon, ça c’est fait ! Et franchement, je n’avais en aucun cas le courage de retourner chercher mon chargeur. J’empruntais le chemin le plus court pour arriver non loin de la rĂ©sidence de S. Ce qui est bien avec ce quartier, c’est qu’il est loin de tout le remue-mĂ©nage du centre ville. Au moins, on n’attend pas quinze minutes pour traverser une minable venais de tourner sur la droit et apercevait l’habitation de ma petite amie. Je traversais l’allĂ©e et me trouvais nez Ă  nez avec la porte d’entrĂ©e. Une sonnette Ă©tait accrochĂ©e sur le cĂŽtĂ©. Je me souviens appuyer comme un fou Ă  chaque fois
 Au moins, elle sait que c’est moi. Aujourd’hui, je restais raisonnable et ne fit Ă©cho que de trois petits ding dong » traditionnelles. Le bruit de chaussure Ă  talon rĂ©sonna dans le couloir
 La battant de la porte s’éloigna de mon visage pour que je me retrouve pratiquement coller Ă  ma jolie brune. Surprise » chuchotais-je tendrement dans son oreille. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Jeu 21 Jan - 1453 Je commençais l'annĂ©e 2010 en fanfare, ma tĂȘte me faisait mal encore et toujours et depuis quelques minutes je n'avais qu'une envie ; me recoucher. Non pas que le rĂ©veillon fut la veille mais j'avais juste passĂ© la soirĂ©e avec mon meilleur ami Jeff et mĂȘme si je n'avais pas pris grand chose je ne tenais pas du tout l'alcool. De plus la sono' avait bien abĂźmĂ© mes oreilles et l'odeur du tabac me dĂ©goĂ»tait, nous Ă©tions rentrĂ©s le matin sans mĂȘme nous en rendre compte bien trop occupĂ©s par notre conversation. Il deviendrait papa je ne le croyais toujours pas et surtout ce matin en me levant aprĂšs quelques heures de repos bien mĂ©ritĂ©, j'avais pensĂ© qu'il s'agissait d'un rĂȘve Ă  un moment donnĂ© mais le texto me donnant du rendez-vous de la veille me remise sur le chemin de la rĂ©alitĂ©, lui envoyant un rapide texto le remerciant de m'avoir dĂ©posĂ© Ă  la maison mĂȘme si je n'habitais pas loin du centre ville mon meilleur ami se montrait trĂšs protecteur envers moi. Je descendis les escaliers qui menait Ă  la cuisine tout doucement, un par un chaque secousse sur le sol s'amplifiait puissance 10 dans ma tĂȘte en clair Ă  chaque pas un orchestre complet m'offrait un concert sans que je ne le veuille. Ma colocataire et ma meilleure amie Shelly ne se trouvait pas lĂ  ou peut ĂȘtre qu'elle dormait tout ce que je savais c'est qu'elle Ă©tait plus ou moins bizarre une fois Jeff dans les alentours enfin bref, mon portable bien rangĂ© dans la poche arriĂšre du jean que je portais depuis mon passage dans la douche matinale , mes cheveux mouillĂ©s qui par chance ne frisaient pas et un tee shirt avec les initiales de Fordham = la tenue du Dimanche. MĂȘme si nous Ă©tions samedi, je n'en Ă©tais pas certaine mais techniquement si la veille nous Ă©tions vendredi aujourd'hui serait samedi j'avais bu un peu mais pas au point d'oublier oĂč je me trouvais. En arrivant dans la cuisine je me dĂ©pĂȘcha de prendre un boite d'aspirine chez nous elle ne se trouvait pas dans la trousse Ă  pharmacie mais dans un placard dans la cuisine d'une part pour Ă©viter de passer 3 heures Ă  la trouver et d'autre part pour Ă©viter que ce soit l'une de nous deux qui la monopolisait, ce mĂ©dicament Ă©tait devenu un genre de bonbon Ă  sa maux son remĂšde donc au moindre petit bobo c'Ă©tait la premiĂšre chose qui nous tombait sous la main. Prenant un comprimĂ© effervescent, puis le glissant dans un grand verre d'eau j'observais comme Ă  chaque fois toutes les bulles, mĂȘme Ă  19 ans ça me laissait toujours dans ce mĂȘme Ă©tat ; dubitative. Et surtout mon Ă©tat encore comateux aggravait la chose, quoique la chose qui me mise le plus en rogne fut le tintement de notre sonnerie, dĂ©jĂ  que je ne la supportais pas quand je me trouvais ĂȘtre au meilleur de ma forme mais lĂ  j'Ă©tais encore pire. Ma tĂȘte me fit trĂšs clairement comprendre qu'elle n'aimait pas ce son non plus en l'accentuant je lĂącha un cri quasi-inaudible, mes lĂšvres entrouvertes, et un rĂąle de soupir comme rĂ©ponse. Je voulais tuer cette personne qui avait osĂ© m'atteindre la sorte, nous Ă©tions Samedi quoi. Oubliant mon verre que je prendrais Ă  mon retour je pris la direction de l'entrĂ©e en faisant claquer mes chaussures, je portais mes chaussures Ă  la maison car pas vraiment habituĂ©e Ă  porter des talons tout le temps. Glissant une main sur une de mes tempes je me figea net lorsque je repensa au rythme des sonneries, c'Ă©tait un genre de code entre lui et moi. Et par Lui je devrais plutĂŽt dire Casey, mon petit-ami. L'envie de meurtre laissa place Ă  un besoin d'affection alors en ouvrant la porte, mĂȘme si le soleil m'aveugla presque je lui esquissa mon plus beau sourire. Tu m'as manquĂ© ! » Continuai-je, il pouvait ĂȘtre ma surprise autant de fois qu'il le voulait tant qu'il Ă©tait lĂ . Ni une, ni deux je le fis entrer dans la maison me serrant contre lui et refermant la porte du bout du pied, elle claqua dans un bruit sourd mais pour le moins dĂ©rangeant. Le fixant sans vouloir passer pour la grosse junkie qui n'avait pas trop dormi de la nuit voire pas du tout je dĂ©posa mes lĂšvres sur les siennes briĂšvement pour lui souhaiter la bienvenue Ă  ma maniĂšre DĂ©solĂ©e pour le bazar mais je devais ranger hier soir et je n'ai rien fais... » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Jeu 21 Jan - 2227 [ DĂ©solĂ© c'est un peu court ]À la vue du soleil, ses yeux se plissĂšrent. Je m’arrangeai pour bouger de façon Ă  ce qu’elle n’est plus le soleil dans les yeux. Tu m'as manquĂ© ! » dit-elle, tout en se collant Ă  moi. Je l’enlaçai pendant qu’avec son pied, elle ferma la porte d’entrĂ©e. À la vue de sa tĂȘte, j’en dĂ©duis que sa nuit avait Ă©tait soit courte, soit alcoolisĂ©e, soit les deux. Elle ajouta DĂ©solĂ©e pour le bazar mais je devais ranger hier soir et je n'ai rien fais... » Oui
 je me doutais bien que si elle avait passĂ© la soirĂ©e Ă  laquelle je pensais, elle n’avait pas eu le temps de ranger. De toute maniĂšre, ce n’est pas un problĂšme pour moi puisque je suis aussi un grand bordĂ©lique. Ne t’en fait pas » dis-je lui dĂ©posant un baiser sur le front. J’espĂ©rais sincĂšrement que je ne l’avais pas rĂ©veillĂ© ou que mon passage surprise ne la dĂ©rangeait pas. Vu sa mauvaise humeur dĂ©tectable de loin, je ne savais pas vraiment ce que nous allions faire. Je l’accompagnai dans la cuisine sans piper mot. Peut-ĂȘtre parlera-t-elle la premiĂšre ? Ou peut-ĂȘtre serais-je le premier Ă  briser le silence ? Je n’en savais rien. Sa cuisine est l’une des rares que je connaisse qui soit si lumineuse. Ma petite amie s’assit sur une des chaises en bois et mit sa tĂȘte entre les bras. Elle devait vraiment ĂȘtre morte
 En tant que bon petit ami, je ne devais pas l’embĂȘter comme j’en ai l’habitude. D’un cĂŽtĂ©, ça me faisait bizarre de la voir dans un Ă©tat pareil sans ĂȘtre dans le mĂȘme cas. Autant dire que c’est rare. Je connais pas mal de garçons qui ne veulent pas emmener leur copine aux soirĂ©es, sous prĂ©texte qu’ils ne s’amuseront pas
 Serena et moi sommes le contraire. La plupart du temps, je l’emmĂšne avec moi ou inversement. Nous ne sommes pas forcĂ©ment coller toute la soirĂ©e mais en profitons en rentrant
 Je me demandais si les deux colocataires de Serena Ă©taient la ? J’aurais l’occasion de lui demander tout ça plus tard. Toujours Ă  moitiĂ© endormie, je lui demandais Tu veux que je te fasse un truc Ă  grignoter ? »Bon
 c’est peut-ĂȘtre une mauvaise question pour un lendemain de cuite mais on ne sait jamais. Pour toutes les fois oĂč j’étais venu chez elle, je savais exactement oĂč se trouvait quoi. Avant qu’elle rĂ©ponde, j’ajoutai Et aprĂšs, on se cĂąlinera dans le canapĂ©, sauf si tu veux faire autre chose
 »J’attendais patiemment sa rĂ©ponse, assis sur le plan de travail derriĂšre elle. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Ven 22 Jan - 227 Casey n'Ă©tait pas le mec dont par le physique vous vous en faisiez une caricature type, il avait tout pour plaire autant ĂȘtre honnĂȘte mais n'en abusait pas. Quoique avant si, la Serena un peu plus sĂ©rieuse et coincĂ©e vous dirait tout le contraire de ce que je pense maintenant car par le passĂ© le jeune homme qui venait de dĂ©poser un baiser mouillĂ© sur mon front Ă©tait un vĂ©ritable Don Juan et encore lĂ  je ne l'ai pas insultĂ©. Parfois quand je recroise d'anciennes connaissances du collĂšge et donc de cette pĂ©riode houleuse de ma vie j'ai le droit Ă  des avertissements ou Ă  des visages fermĂ©s et mĂ©fiants, comme si j'Ă©tais suicidaire d'accorder une seconde chance Ă  Casey comme s'il jouait Ă  nouveau. Je doute fort qu'il en soit encore au stade de jouer car lui et moi sommes en couple depuis trois longues annĂ©es, les plus sadiques arrivent Ă  tenir un an grand maximum Ă  jouer ainsi des sentiments des autres mais pas lui. AprĂšs tout j'avais confiance et chose moins nĂ©gligeable je l'aimais plus que tout, l'Amour rend aveugle et bien j'assumais mĂȘme si je sentais qu'il m'aimait aussi fort que je l'aimais aussi on tournait autour du pot ou l'on se rĂ©pĂ©tait j'Ă©tais une chanceuse voilĂ  rĂ©plique qui aurait Ă©tĂ© plutĂŽt bien vue comme un compliment ou une maniĂšre de me racheter de ma future mauvaise humeur, je savais que je ne serais pas vraiment agrĂ©able et je n'avais pas envie qu'il en rĂ©colte les frais. Le cĂŽtĂ© encore endolori de ma personne ne souhaitait qu'une chose retourner au chaud et dormir durant les 24 prochaines heures l'autre cĂŽtĂ© voulait seulement avoir son petit-ami auprĂšs d'elle et qu'il prenne aussi soin d'elle par la mĂȘme occasion. Il se proposait souvent pour faire quelque chose, que ça soit lors d'une soirĂ©e, sortie ou comme ici chez moi. J'apprĂ©ciais ces petites attentions et Ă  vrai dire ça me satisfaisait de ne pas ĂȘtre comme la plupart des Bimbos qui doivent tout faire pour que leurs mecs daignent leur offrir un regard, moi je n'avais pas seulement un regard mais tout la panoplie du parfait amant. A sa proposition je posa une main sur mon estomac essayant d'en capter un son ou une vibration me permettant d'Ă©valuer ma faim, je grignote souvent mais lĂ  craignant de m'allonger sur le canapĂ© et pleurer Ă  cause de mon ventre gonflĂ© je lui esquissa un signe de la main signifiant stop. Pas le genre de Stop qui vous arrĂȘte en pleine action, qui a quelque chose pour le moins oppressante voire dĂ©sagrĂ©able celui qui voulait dire prends ton temps on est pas pressĂ©s... » je pouvais jurer qu'il ne le prendrait pas dans ce sens mais je m'en fichais un peu. Je ne voulais pas me bourrer le ventre surtout que je n'en ressentais pas le besoin ni l'envie alors que d'habitude c'est par envie que je grignote. Casey pouvait mĂȘme en tĂ©moigner j'avais toujours dans mon sac un paquet de gĂąteaux, ou de bonbons sinon j'Ă©tais capable de faire le trajet retour pour rentrer Ă  la maison et emporter ce qu'il me fallait. Enfin bref je pris le verre abandonnĂ© quelques secondes plus tĂŽt et fut ravie de constater que le comprimĂ© s'Ă©tait bien dissout et que les bulles se faisaient rare, tenant le verre d'une main et l'amenant au contact de mes lĂšvres je sentais la matiĂšre froide sur mes lĂšvres, avec un arriĂšre goĂ»t mĂ©tallique. Mauvais signe le coup du j'ai un arriĂšre goĂ»t dans la bouche, buvant d'une traite le liquide je ne pus retenir une mine renfrognĂ©e de dĂ©goĂ»t. Non, non rien Ă  manger merci, mais si tu veux un truc vas y sers toi.»Et il voulait me faire un truc Ă  manger ? Mauvaise idĂ©e. Par contre sa seconde proposition m'intĂ©ressa beaucoup plus, bon ok je passe pour la coquine dans notre couple mais attendez de voir Casey avant de juger. Nous sĂ©rions posĂ©s tranquillement, sans aucun risque que ma tĂȘte n'explose Ă  cause du bruit ou de gestes trop brusques un truc parfait pour bien dĂ©cuver non ? Quittant la chaise haute avec le verre dans ma main je me dirigeais vers l'Ă©vier et y fit couler de l'eau froide et laissa le couvert je ferai la vaisselle plus tard comme d'autres trucs d'ailleurs. J'opte pour la seconde proposition des cĂąlins et un canapĂ© ! Et j'ajouterais Ă©galement un massage parce que je suis totalement extĂ©nuĂ©e... » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Ven 22 Jan - 2307 Elle se redressa sur la chaise et posa une de ses mains sur son estomac. Tout ça me rappelait une fois oĂč le cas Ă©tait pratiquement similaire. Sauf que j’étais vraiment dĂ©foncĂ© et elle Ă©puisĂ©e. Heureusement, nous Ă©tions chez moi, parce qu’à un moment, j’ai mis moi aussi mes mains sur mon ventre, mais pas pour la mĂȘme raison. Je me souviens avoir vomi des litres et des litres d’alcool. Le pire c’est que comme j’avais bu un maximum de Get 27 et manger une tonne de petit ours en gĂ©latine, le mĂ©lange Ă©tait
DĂ©sagrĂ©able. AprĂšs quelques secondes de concentration, elle me fit un signe de la main, comme signifiant Stop. Je n’étais pas en train de parler ou faire quelque chose de mal, je pris ça comme un refus Ă  la premiĂšre question. Et Ă  vrai dire, si ma petite amie refusait de grignoter, c’est vraiment que ça n’allait pas fort. Non pas qu’elle soit gourmande, - ça se voit d’ailleurs bien Ă  taille, fine – mais parce que je sais qu’elle aime manger malgrĂ© tout. Mon regard s’arrĂȘta sur un verre posĂ© au centre de la table, Ă  environ six centimĂštres de Serena. J’en dĂ©duis qu’il contenait une aspirine et qu’il Ă©tait pour elle. La chose essentielle aux trois demoiselles dans cette maison est bien l’aspirine ça soulage presque Ă  tous les coups. Deux petites bulles remontĂšrent du fond du verre, avant qu’elle ne le prenne. Doucement, elle l’amena Ă  sa bouche et bu le contenu d’une traite. Je la plaignais d’avoir le mauvais goĂ»t dans la bouche. À chaque fois que je vais chez le mĂ©decin, je prĂ©cise toujours qu’il faut Ă©viter les cachets effervescents. Depuis tout petit, je dĂ©teste ce genre de mĂ©docs et je les Ă©vite. Non, non rien Ă  manger merci, mais si tu veux un truc vas y sers toi.»Ah oui
 et c’est sur qu’aprĂšs avoir avalĂ© ça, je ne voudrais rien avaler non plus. Quoi que, peut-ĂȘtre pour faire disparaitre le goĂ»t ? Oh et puis je n’étais actuellement pas dans ce cas. Ce matin, en me levant, je m’étais fait du pain perdu, comme je l’aime. Je me souvenais encore de la quantitĂ© monstre de sucre que j’y avais mit. Ce simple souvenir me confirma que je n’avais pas et plus faim. Je me contentai de refuser en la remerciant. Je jetai un coup d’Ɠil au salon et me rappelai de la seconde question, toujours sans rĂ©ponse. Je pensais que le fait qu’elle se repose Ă©tait une bonne maniĂšre de laisser passer le mal de crĂąne. AprĂšs mure rĂ©flexions, il serait peut-ĂȘtre judicieux que je la berce jusqu’à ce qu’elle s’endorme, pour ensuite la ramener dans son lit. Bien entendu, je pourrais rester la avec elle, jusqu’à ce qu’elle se rĂ©veille. MĂȘme si, Ă  la vue de ses cernes, ça risquait d’ĂȘtre long. Le verre toujours Ă  la main, elle se leva. Un instant, j’hĂ©sitai Ă  rester non loin d’elle au cas oĂč un vertige la prendrait puis restais lĂ  oĂč j’étais. Elle posa le verre dans l’évier et se retourna vers moi. J'opte pour la seconde proposition des cĂąlins et un canapĂ© ! Et j'ajouterais Ă©galement un massage parce que je suis totalement extĂ©nuĂ©e... »J’étais content de savoir que l’idĂ©e lui plu. Il y eut un temps ou Serena avait des problĂšmes de dos. Je me suis entrainĂ© avec un ami kinĂ© Ă  faire de bon massage ! Depuis, je n’irais pas jusqu’à dire que je suis un pro, mais je me dĂ©brouille assez bien. Avant de nous avancer vers le salon, je la pris dans mes bras. Je ne serrais pas, histoire de ne pas accentuer ses maux. AprĂšs deux petites minutes d’enlacage », je nous guidai jusqu’à l’énorme canapĂ© bordeaux qui ornĂ© son salon. Je ne savais pas trop si c’était prĂ©fĂ©rable qu’on s’allonge. Dans un premier temps, pour la masser, j’optais pour la position assise. M’affalant sur le divan, j’écartai les jambes et invita Serena Ă  venir s’assoir entre celle-ci. Je posai mes mains sur ses hanches pour qu’elle ne tombe pas trop violemment. Et oui
 je suis extrĂȘmement protecteur avec elle. En mĂȘme temps, j’y tiens comme Ă  la prunelle de mes yeux Ă  cette jolie brune. Elle cala sa tĂȘte sur mon Ă©paule et ferma les yeux. Mes mains caressĂ©es son ventre et ses cuisses, jusqu’à ce qu’elle se redresse pour me prĂ©senter son dos. Je commençais Ă  masser ses Ă©paules. Elles Ă©taient toutes crispĂ©es. Bon
 il fallait qu’elle se dĂ©tende. Allonge-toi ma chĂ©rie » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Sam 23 Jan - 1615 Le liquide que contenait le verre Ă  prĂ©sent vide et dans l'Ă©vier me donnait le tournis et de curieux hauts le coeur. Pourtant je n'avais pas bu Ă©normĂ©ment, juste un verre, et un cocktail enfin les cocktails c'est sournois parce que sucrĂ© on en oublie le goĂ»t de l'alcool et on en rajoute. Avais-je rĂ©clamer Ă  un serveur ou Ă  Jeff de me servir Ă  nouveau ? Cela expliquait pas mal de choses dont le fait qu'il me dĂ©pose alors que j'habitais Ă  quelques pas d'ici. On avait pas vu la soirĂ©e passĂ©e et au vu de son humeur il avait eu besoin d'un bon remontant non pas que quelque chose se soit passĂ© entre nous mais avec la nouvelle qu'il m'avait annoncĂ© on avait tous les deux besoin de se changer les idĂ©es. En me forçant Ă  penser Ă  la fin de la soirĂ©e j'avais des trous noirs je me souvenais de mon premier verre que j'avais luttĂ© pour terminĂ©, mais aprĂšs des bribes de conversations et toujours le mot bĂ©bĂ© qui rĂ©sonnait dans mes oreilles. Oui voilĂ  je lui avais conseillĂ© de ne pas penser au bĂ©bĂ© et plutĂŽt nous amuser et donc pour donner l'exemple je m'Ă©tais lĂąchĂ©e. LĂąchĂ© dans le bon sens du terme que Casey ne prenne pas peur hein. Alors que nous quittions la cuisine pour le salon, salon qui avait connu des jours meilleurs oĂč tout prenait bien sa place, oĂč nous accueillions des filles pour nos traditionnelles soirĂ©es entre filles. OĂč je passais la plupart de mon temps avec Casey quand Shelly Ă©tait lĂ , j'ai toujours Ă©tĂ© timide et la pudeur fait partie de mes dĂ©fauts. Alors quand une de mes coloc' Ă©taient prĂ©sentes je restais chez Casey ou quand il venait Ă  la maison nous restions dans le salon, il y a une seule fois oĂč mon petit-ami avait passĂ© la nuit chez moi et le lendemain j'ai eu droit Ă  des railleries de mes copines sur le fait qu'il Ă©tait trĂšs mignon avec uniquement une serviette autour de la taille. Okay merci pour les dĂ©tails, bon depuis Casey sortait avec un tee-shirt et un serviette au minimum et j'Ă©vitais toutes situations gĂȘnantes en prenant bien soin de pas me montrer trop mĂ©chante ou froide car les envies ne manquaient pas. Moi la premiĂšre j'avais parfois du mal Ă  me faire Ă  l'idĂ©e que ce soir nous dormirons pas tous les deux enfin bref lĂ  la journĂ©e venait tout juste de commencer et mĂȘme si le programme massage en laissait quelques uns sceptiques je m'en contre-fichait. Il rĂ©ussirait comme Ă  chaque fois Ă  me dĂ©tendre et Ă  m'apaiser, c'est ce que je voulais et cherchais chez un homme qu'il puisse me protĂ©ger, me cĂąliner, prendre soin de moi mais sans en abuser. Lorgnant lĂ©gĂšrement sur ses mains, je le laissa faire et tel un guide il me prit par la main et m'invita Ă  m'asseoir sur ses genoux. Je me sentais lourde, et fatiguĂ©e, je n'avais plus des valises comme cernes sous mes yeux mais de vraies malles grimaçant et affichant une petite moue je pris une grosse inspiration et frissonna quand ses mains se mirent Ă  dĂ©taler sur le haut de mon corps. Ma tĂȘte me faisait moins mal car prenant bien le temps d'adapter mon allure Ă  ce que je comptais faire, dĂ©jĂ  je comptais lui parler de ma soirĂ©e d'hier. Il ne m'avait pas postĂ© de questions mais je sentais qu'il se retenait de le faire pour Ă©viter une dispute ou que je ne le traite de jaloux et qu'en l'occurrence je touche Ă  son Ă©go. Hier soir je suis sortie avec Jeff, comme souvent d'ailleurs mais lĂ  il m'a annoncĂ© que sa petite copine avec qui il habite depuis quelques temps est ENCEINTE ! »Sans vraiment le faire exprĂšs ma voix avait augmentĂ© de ton, et mon crĂąne silencieux depuis quelques minutes se rĂ©veilla en une fraction de seconde. LĂąchant un aie bien prononcĂ© je massais Ă©nergiquement mes tempes tout en me radoucissant. Je portais un avis pas trop emballĂ© sur ce projet d'avenir soudain mais en tant que digne meilleure amie je me contentais de soutenir Jeff et pas dĂ©baller mes Ă©tats d'Ăąme chose que je ferai dĂ©s que le jeune homme qui me massait serait prĂ©sent donc maintenant ... Et le pauvre il est complĂštement perdu, tu vois ça se voit qu'il n'est pas prĂȘt Ă  en avoir un de mĂŽme mais il ne veut pas faire avorter sa copine. C'est bien ce truc de bon samaritain mais ils sont gamins ces deux lĂ . AH et puis ça m'Ă©nerve de le voir dans cet Ă©tat lĂ . Alors tu vois pour pas qu'on tire la gueule toute la soirĂ©e je lui ai forcĂ© la main et j'ai bu, un peu plus que d'habitude et ceci explique donc cela. » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Jeu 28 Jan - 2158 Avec toute cette histoire, j’en avais totalement oubliĂ© – ce qui n’est pas trĂšs malin – les causes de son mal de tĂȘte. HonnĂȘtement, j’avais essayĂ© de me sortir de la tĂȘte qu’elle avait passĂ© la soirĂ©e avec un autre. Et je l’ai voulu si fort que je n’y avais plus pensĂ© du tout. Je ne me considĂšre pas comme un mec jaloux mais j’ai quand mĂȘme mes limites. Bon j’avoue
 le mec ave lequel elle Ă©tait restĂ© n’était rien d’autre que son meilleur ami, mais quand mĂȘme ! Ca me gĂȘnait d’autant plus en sachant qu’ils avaient fini beurrĂ© tous les deux. J’aimerais tellement ne pas avoir cette boule dans le ventre car oui, j’avais peur. Peur de quoi ? De la perdre Ă  nouveau, la savoir avec quelqu’un d’autre et surtout bourrĂ©e. Bien entendu, je ne dis pas que je n’ais pas confiance en elle loin de là
 mais j’ai quand mĂȘme le droit de paniquer. Bon
 si je commençais Ă  essayer de continuer de me convaincre ça n’allait pas le faire. Plus je voulais Ă©viter que la question voir les questions ne sortent de ma bouche, plus la tentation Ă©tait rude. Mais certaine me turlupinaient quand mĂȘme l’esprit Pourquoi avait-il bu Ă  ce point ? » Car c’est vrai que ma petite amie tient relativement bien l’alcool. Bizarre 
 Mais c’était sur que si JE faisais l’ouverture du sujet, ça allait mal finir. Et aujourd’hui, je ne voulais pas mais alors pas du tout me prendre la tĂȘte avec elle. Sans me vanter, je suis assez fier de moi quant Ă  mon changement de comportement depuis les 3 ans que nous sommes ensemble. Ma rĂ©action au passĂ© n’aurait pas Ă©tĂ© la mĂȘme. Je ne pensais pas qu’elle ait lu dans mes pensĂ©es mais elle rĂ©pondit Ă  la question que je n’avais finalement pas posĂ©e Hier soir je suis sortie avec Jeff, comme souvent d'ailleurs mais lĂ  il m'a annoncĂ© que sa petite copine avec qui il habite depuis quelques temps est ENCEINTE ! »Ah oui quand mĂȘme
 Le ton de sa voix avait augmentĂ© de volume. Je ne pensais pas que ce soit contre moi. Je comprenais maintenant pourquoi elle Ă©tait tendue et grognon. Je poursuivais mon massage des Ă©paules calmement quand elle cria un Aie » de douleur. Par reflexe, je retirai mes mains de son dos, ayant peur de lui a voir fait mal. Elle plaça ses mains sur ses tempes et se massa. Ca devait ĂȘtre son mal de tĂȘte qui recommencĂ© de plus belle. Je prenais ses mains dans les miennes et les reposaient sur ses cuisses. Je me chargeai de lui masser la tĂȘte je n’aimais pas la voir dans cet Ă©tat. Elle continua sur sa lancĂ©e ... Et le pauvre il est complĂštement perdu, tu vois ça se voit qu'il n'est pas prĂȘt Ă  en avoir un de mĂŽme mais il ne veut pas faire avorter sa copine. C'est bien ce truc de bon samaritain mais ils sont gamins ces deux lĂ . AH et puis ça m'Ă©nerve de le voir dans cet Ă©tat lĂ . Alors tu vois pour pas qu'on tire la gueule toute la soirĂ©e je lui ai forcĂ© la main et j'ai bu, un peu plus que d'habitude et ceci explique donc cela. »Je comprenais en mĂȘme temps Serena et Jeff. PremiĂšrement c’était normal que dans cette situation, elle soit inquiĂšte pour lui et Ă©galement Ă©nervĂ©e. Parce qu’il faut se rendre Ă  l’évidence, ce n’est pas trĂšs responsable. Nous, nous avons toujours veillĂ© Ă  Ă©viter ce problĂšme. Mais eux ne sont pas nous et inversement. Bref, je voyais bien que cette histoire la perturbait. AprĂšs mĂ»re rĂ©flexions, je ne lui en voulais pas d’avoir bu et de s’ĂȘtre Ă©nervĂ©. Car pour ne pas le perturber d’avantage, elle avait omis de lui dire ce qu’elle venait de me confier. Je lui caressais les cheveux, pour la calmer. Est-ce que sa copine peut prendre cette responsabilitĂ© ? Parce que dans ces cas-lĂ  peut-ĂȘtre que ça se passera bien
 ou peut-ĂȘtre pas » rajoutais-je tout bas aprĂšs une hĂ©sitation. J’essayais de comprendre la situation et par la mĂȘme occasion, relativiser. Je pense qu’elle allait passĂ© une sale soirĂ©e Ă  cogiter. J’étais de mĂȘme seul ce soir et habitait Ă  trois rues de lĂ . Je lui proposais ma compagnie si elle le souhaitait Si ce soir tu as envie de parler ou autre chose, n’hĂ©site pas Ă  passer Ă  la maison, je serais lĂ  » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Mar 2 FĂ©v - 1625 Je devais normalement garder le secret, dĂ©jĂ  que peu de personnes n'Ă©taient au courant. Sauf si la petite copine de Jeff Ă©tait comme toutes les autres cheerleaders c'est-Ă -dire Ă  raconter toute leur vies, et mĂȘme les choses les plus privĂ©es. D'ailleurs ce genre de comportement me tuait, comment pouvait-on dĂ©libĂ©rĂ©ment raconter les moindres faits et gestes Ă  des filles qui juste par appartenance au mĂȘme groupe obtenait automatiquement notre confiance ? VoilĂ  je voyais toutes les filles de ce genre d'un trĂšs mauvais Ɠil et quand une s'approchait d'un peu trop prĂšs de mon Casey, je sortais de mes gonds. AprĂšs tout au dĂ©but de notre relation j'en avais bavĂ© ; il n'Ă©tait pas comme le portrait robot de l'Homme parfait que je me cherchais il n y ressemblait carrĂ©ment pas. Disons que jouer de ma personne pour arriver Ă  gagner un pari, ça ternit tout de suite plus facilement une rĂ©putation mais au fil des annĂ©es Casey avait virĂ© "amoureux agrĂ©able" pas parfait car la perfection ne pouvait ĂȘtre atteindre et penser Ă  ça me forçait Ă  chercher Ă  l'atteindre quand mĂȘme enfin bref j'aimais Casey. Plus que n'importe qui au monde ; Jeff Ă©tait un excellent ami/confident et un frĂšre que je n'avais pas eu la chance d'avoir. Casey quand Ă  lui se trouvait ĂȘtre ; le petit-ami/amant et celui qui prenait trĂšs bien soin de moi. Comme lĂ  Ă  me masser, Ă  me laisser me dĂ©tendre, il s'occuperait de tout et cette pensĂ©e me rendit un brin de plus joyeuse. Mes yeux fermĂ©s seul lui pouvait me guider, il possĂ©dait ma confiance tout ce qui faisait que ma vie se tenait entre ses mains. Ma mĂšre m'avait expliquĂ© que si je ressentais ce sentiment de toute puissance aux cĂŽtĂ©s d'un homme ; il Ă©tait le bon. Bon dans le sens que je partagerais ma vie avec, mes parents n'Ă©taient pas l'exemple du couple typique mais je sentais qu'ils s'aimaient toujours autant malgrĂ© leurs boulots, leurs emplois du temps chargĂ©s. AprĂšs tout ceux qui s'aiment, s'aiment partout non ? Si je me voyais mariĂ©e Ă  Casey ? Pourquoi pas ? Je l'avais aimĂ© gamine, et lĂ  je continuais et le fait que l'avenir pouvait se dessiner plus rapidement en fonction d'Ă©vĂšnements pas du tout prĂ©vus me rendait plus imaginative. Alors quand il posa ses mains sur ma tĂȘte, je me redressa et me colla contre sa poitrine ; mon visage qui fixait ses traits fins et rĂ©guliers. Je pris ses mains que je dĂ©posa sur mon ventre et les joignirent aux miennes ; qu'importe mon mal de crĂąne ? Il Ă©tait Ă  cĂŽtĂ© de moi... Elle ne veut pas avorter d'aprĂšs ce que j'ai compris. Et puis je la comprends je ne le ferai pas non plus Ă  sa place. Ils s'aiment donc ça y aura des hauts et des bas... SĂ»rement. »Mais un enfant ne vas pas jouer le rĂŽle d'un fardeau dans un couple non ? Je n'Ă©tais pas vraiment convaincue de ce que je disais mais pour jouer la carte de la meilleure amie je devais sortir un discours qui ne m'enchantait pas moi mĂȘme. Me pinçant la lĂšvre, je voulais poser une question Ă  Lockart. Une question qu'il trouverait sans doute bizarre il aurait mĂȘme des doutes mais il m'en avait parlĂ© Ă  plusieurs reprises alors. Sauf qu'il me devança, et sa proposition me fit tirer la moue. Je le voulais pour moi tout seul et chez moi ! Alors serrant nos mains bien liĂ©es entre elles je fis un non de la tĂȘte avant de dĂ©poser un baiser dans le creux de son cou qui m'Ă©tait facile Ă  atteindre. Reposant ma tĂȘte sur son Ă©paule et me calant du mieux que je pouvais entre ses jambes je demanda d'une voix vague Et toi tu voudrais avoir un bĂ©bĂ© ? » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Sam 6 FĂ©v - 054 Je savais bien que cette histoire ne devait pas ĂȘtre connue de grand monde Ă  part les deux concernĂ©s et leurs entourages. Le fait que Serena m’en parle m’aida Ă  me rassurer quant Ă  la confiance que nous avions tous les deux rĂ©ussi Ă  retrouver de l’autre. J’avoue qu’au dĂ©but, ça n’a pas Ă©tait si simple que ça mais maintenant, tout va mieux. Nous avons quand mĂȘme eu trois ans pour nous supporter et complĂ©ter l’un l’autre. Ce genre d’histoire est diffusĂ© Ă  une minute monstre quand on la confie aux personnes qu’il ne faut pas. Parce qu’aprĂšs tout dans les amis » il y a trois catĂ©gories - ceux auxquels on peut dire tout et n’importe quoi ils n’en parleront qu’à une personne de confiance, comme Serena ; - ceux auxquels on confie quelque chose et vont rĂ©pĂ©ter Ă  3 personnes le secret en prĂ©cisant de ne rien dire et ces personnes font de mĂȘme et cetera 
 ; - et ceux qui ne se gĂȘne pas et crie au et fort vos confidences. Franchement, je sais que par moment je peux ĂȘtre littĂ©ralement chiant comme ami avec mon caractĂšre bien trempĂ© mais ça
 jamais je ne trahirais de la sorte un ami, et encore moins un bon ami. Au fil du temps, j’ai compris que la confiance Ă©tait l’une des choses les plus importante dans une relation, de n’importe qu’elle sorte soit-elle. On ne peut pas avancer avec quelqu’un qui nous inquiĂšte et avec lequel on a peur de parler. À l’universitĂ©, j’entends de plus en plus de rumeurs et quand elles concernent quelqu’un qui m’est proche, et surtout sont fausses, je ne me gĂȘne pas pour emmerder les rĂ©pendeurs ». C’est pour cette raison que ma petite amie pouvait avoir entiĂšrement confiance en moi et ça me faisait plaisir de voir qu’elle le savait. Je continuais mon massage pour la calmer et petit Ă  petit la dĂ©tendre. La situation du meilleure ami de Serena et de sa petite amie m’intriguait plus j’y rĂ©flĂ©chissais. Ils voulaient vraiment cet enfant. Dans ces cas-lĂ  Jeff devait penser que sa copine Ă©tait la bonne, celle avec qui il voulait partager sa vie. En Ă©tait-il sur ? De mon cĂŽtĂ©, ma relation avec Serena est ce que j’ai eu de mieux dans ma vie. Ca fait trois ans et je suis toujours aussi impatient d’ĂȘtre avec elle, Ă©nervĂ© Ă  la savoir avec un autre et surtout heureux quand je la vois. La premiĂšre fois que nous sommes sortis ensemble, je ne me suis pas rendu compte de ce que j’avais ou peut-ĂȘtre n’avais-je pas la mĂȘme façon de penser. LĂ  maintenant, dans ce canapĂ©, collĂ© Ă  elle, je me sentais paisible. Je ne voulais rien d’autre que de rester comme ceci, le plus longtemps possible que nous pourrons. Au dĂ©but, j’avais du mal Ă  m’avouer que mon amour Ă©tait Ă©norme car je trouvais ça puĂ©ril de la part d’un homme. Mais non, au contraire, bien au contraire ! Elle ne veut pas avorter d'aprĂšs ce que j'ai compris. Et puis je la comprends je ne le ferai pas non plus Ă  sa place. Ils s'aiment donc ça y aura des hauts et des bas... SĂ»rement. »On aurait dit qu’elle essayait de se convaincre
 Dans une relation c’est certain que ça ne peut pas toujours aller, ce serait trop facile. Et puis des fois mais quand mĂȘme souvent les bas » permettent une rĂ©conciliation et se rendre compte Ă  quel point l’ĂȘtre cher est important. Le fait de savoir que si Serena Ă©tait enceinte, elle n’aurait pas avortĂ© me rassura et inquiĂ©ta en mĂȘme temps. PremiĂšrement, on assume ses actes au maximum. De plus je trouve cette pratique
 trop utilisĂ©e de nos jours. DeuxiĂšmement pour les Ă©tudes et l’organisation ce n’est pas vraiment serviable. Mais quand on s’aime et qu’on est sur de ce que l’on veut, pourquoi pas ? Avoir un enfant Ă©tait un de mes progrĂšs d’avenir, avec Serena je l’espĂ©rais. Mais pour le moment, je ne sais pas, c’est trop risquĂ© je trouve. Ce qui me fait le plus peur, c’est la responsabilitĂ© que ça entraine. Oui voilĂ , c’est surtout ça. Elle serra nos mains liĂ©es les unes dans les autres et fit non de la tĂȘte pour ma proposition. En tout cas, je n’avais pas envie de partir et Ă©tait terriblement bien ici avec elle. Elle dĂ©posa un lĂ©ger baiser dans mon cou puis me demanda Et toi tu voudrais avoir un bĂ©bĂ© ? »  J’avoue que sa question me prit au dĂ©pourvu. Je me souviens avoir Ă©voquĂ© ce sujet Ă  plusieurs reprises avec elle certes, mais je ne pensais pas qu’elle y avait prĂȘtĂ© attention. Peut-ĂȘtre que toute cette histoire lui donnait des envies d’enfants, ou
 Non ! Nous faisons attention, elle ne pourrait pas ĂȘtre enceinte ? Ce serait plausible, car elle prend cette histoire Ă  cƓur et elle se sentirait comme concernĂ©e encore plus. Raaaah ! Il fallait que j’arrĂȘte de m’embrouiller la tĂȘte. Je pense qu’elle connaissait dĂ©jĂ  la rĂ©ponse Ă  ma question mais je lui rĂ©pondis tout de mĂȘme Oui je veux un enfant. Mais je trouve que c’est un peu tĂŽt
 Enfin, je parle dans le cas de Jeff et sa petite amie. »Inconsciemment, j’avais arrĂȘtĂ© de la masser et caresser, trop occupĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir. Je repris mon occupation et lui demanda curieux Pourquoi ça ? »Et je ne sais pas pourquoi, mais j’attendais la rĂ©ponse avec impatience. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Sam 20 FĂ©v - 1210 Plus les mains de Casey s'appliquaient sur son mon dos, plus je me dĂ©tendais de plus en plus. Casey savait trĂšs bien et oĂč appuyer pour me calmer, il Ă©tait douĂ© ; il cuisinait bien, s'occupait de moi tout cet ensemble de petites choses qui me rendaient encore plus heureuse. Mon petit ami devenait un homme meilleur jour aprĂšs jour, si la Serena du pensionnat viendrait vous parler de Lockart son discours serait trĂšs diffĂ©rent voire Ă  l'opposĂ© de son comportement de maintenant. Nous nous Ă©tions apprivoisĂ©s l'un de l'autre et notre vie n'en devenait que plus facile et agrĂ©able, nous avions chacuns nos points de vue, nos instants en toute tranquillitĂ© car je n'Ă©tais pas facile Ă  vivre tous les jours. Et je ne comprenais pas comment il arriver autant Ă  gĂ©rer son self-control, rien que pour ça je le respectais encore plus. Casey est la personne pour qui je serais prĂȘte Ă  faire des sacrifices ; et mĂȘme si je sais que ma mĂšre ne verrait pas d'un bon oeil le fait que je m'Ă©loigne de mes Ă©tudes quelques temps pour ses beaux yeux mais ma mĂšre avait bien fait pareil si ce n'est pire quand elle a rencontrĂ© mon pĂšre. Quand Jeff m'avait annoncĂ© pour la grossesse, je m'Ă©tais posĂ©e la question de savoir si mon petit-ami voyait un avenir avec moi ? Si, quand il fermait les yeux et rĂȘvait j y faisais partie, dans son petit pavillon avec des enfants. C'est clair que lĂ  j'entrais dans la caricature, avec le parfait family-portrait sans oublier le chien etc. Je grimaçais Ă  cette pensĂ©e mais du me rĂ©signer Ă  admettre qu'elle me plaisait quand mĂȘme. MĂȘme si je me voyais aussi voyager, profiter de ma vie et sans enfants. Des gosses on aura tout le temps d'en avoir Ă  partir de trente ans, quand Casey sera un grand musicien et que toutes les groupies se jetteront Ă  ses pieds. Imagination dĂ©bordante moi ? Je ne vois pas de quoi vous parlez enfin bref. On revenait et tournait encore sur le sujet des bĂ©bĂ©s, c'est vrai que Casey m'en avait parlĂ© plusieurs fois et j'avouerais avoir angoissĂ© Ă  plusieurs reprises quand nous passions la nuit tous les deux ; je ne suis pas parano mais j'ai juste appris que certains Ă©taient capables de tout pour avoir un bĂ©bĂ©, quitte Ă  le faire Ă  l'insu de leur partenaire. J'avais peur de me retrouver enceinte, d'ĂȘtre abandonnĂ©e parce qu'au dĂ©but on est tout euphorique mais l'instant d'aprĂšs la rĂ©alitĂ© nous appelle et nous voilĂ  en bad total. Je me colla un peu plus contre lui et inspira et respira un bon coup, on parlait bien de Jeff et de sa petite-amie. MĂȘme si la situation pouvait prĂȘter Ă  confusion car qui n'avait pas dĂ©jĂ  demandĂ© conseil Ă  une personne en ne disant pas clairement que le problĂšme la concernait elle ? Qu'il ne prenne pas peur chose que je ressentis quand il se figea comme une statue, le temps de cogiter. Je savais pertinemment que je n'Ă©tais pas enceinte mais lui avait tout le temps de s'imaginer le contraire, j'avais nĂ©anmoins vu un sourire se dessiner timidement sur son visage ; Casey voulait un enfant pour lui c'Ă©tait la continuitĂ© des choses. Nous Ă©tions ensemble depuis 3 ans, certains parlaient dĂ©jĂ  fiançailles, mariages d'autre bĂ©bĂ©s. Et moi je parlais surtout Ă©tudes, je voulais d'abord me poser professionnellement et aprĂšs envisager le cĂŽtĂ© de ma vie personnelle. T'as cru que c'Ă©tait moi hein ? » Je ne lui faisais pas un reproche mais je me contentais d'analyser la situation et de dire ce que j'en pensais. C'Ă©tait mignon qu'il puisse penser cela et mĂȘme si je restais "contre" cette idĂ©e d'un bĂ©bĂ© maintenant ça me plaisait que Casey Ă©tait d'accord d'en avoir un avec moi. Cela me donnait une impression d'ĂȘtre encore plus aimĂ©e par lui, je ne pouvais pas expliquer dans quel Ă©tat je me trouvais pile Ă  ce moment. J'Ă©tais heureuse en clair Parce que dans ma vision de mon avenir tu y fais partie et avec des enfants ! » C'Ă©tait sincĂšre et ça pouvait ĂȘtre effrayant aussi, je cacha mon visage sous mes mains avec une grosse pointe d'honte et de peur qu'il se mette Ă  me charrier lĂ -dessus. Car oui Casey Ă©tait dans le genre blagueur et tout ça mais il Ă©tait avant tout mon Casey et j'en devenais de plus en plus sĂ»re. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Lun 22 FĂ©v - 2120 J’ai passĂ© tout mon temps aprĂšs notre rupture Ă  me demander pourquoi j’avais Ă©tĂ© aussi stupide ? Je n’avais pas beaucoup d’ami et quand cette fille m’a plu, j’ai trouvĂ© un prĂ©texte idiot pour pouvoir m’approcher d’elle sans que tout le monde dise que ça y est, mon cƓur de pierre Ă©tait brisĂ©. Je me souciai plus de ma rĂ©putation » que de la sienne, et enfin de compte, ça m’a encore plus blessĂ©. Cette fille Ă©tait la seule qui aimait ce que j’étais rĂ©ellement, au fond et pas pour les apparences que je montrais. Elle avait rĂ©ussi Ă  raviver quelque chose d’éteint depuis longtemps au fond de mon ĂȘtre. Quand elle m’a quittĂ©, j’ai fait comme si je m’en fichai, que c’était mieux mais non, non. Encore une fois mon Ă©go a Ă©tĂ© le plus fort
 Quand nous nous sommes revus, j’ai essayĂ© tant bien que mal de le repousser, pour qu’elle retrouve ce pour quoi elle m’avait aimĂ©. Elle fait de moi un homme meilleur et ces 3 ans m’ont permis de rĂ©aliser Ă  quel point sa prĂ©sence Ă©tait importante. Il fut un temps oĂč jamais je n’aurais acceptĂ© certaine de ses rĂ©actions, pour n’importe qu’elle raison mais maintenant, je prends sur moi. Je me dis que sans elle, je ne serais pas devenu comme ça et que je lui devais en partie beaucoup de choses. S’emporter ne sert Ă  rien et maintenant, je fais tout pour que notre relation marche. Je ne veux pas perdre ces habitudes dans ma vie, oĂč elle en fait partie. Si je pouvais avoir la certitude de continuer ma vie avec ce petit bout de femme, je me sentirais plus
 serein. Je partais dans un discours du mec-totalement-cramĂ© qui voulait une petite-famille-parfaite. Une maison au bord de la mer, Serena et deux petits enfants bien Ă©duquĂ©s, un chien et deux poissons. Le stĂ©rĂ©otype de la famille idĂ©ale quoi. Mais maintenant qu’on parlait d’enfant, je me posai des questions sur le futur. DĂ©jĂ , je prendrais grand soin d’eux, refusant catĂ©goriquement de reproduire ce que mes parents m’ont fait subir. C’est peut-ĂȘtre pour cette raison que cette idĂ©e me perturbe tant. Je veux me prouver qu’on peut avoir une enfance parfaite, loin des pensionnats et de la solitude. Mais bien sur, je rĂ©servais ces Ă©vĂšnements pour plus tard, quand ma petite amie et moi aurons fini nos Ă©tudes. Ca ne sert Ă  rien de se prĂ©cipiter et bousiller notre avenir. E plus, pour nourrir des bouches, il faut un mĂ©tier. Je voyais bien Serena Ă  l’hĂŽpital de New-York en tant que grande chirurgienne et moi dans mes concerts Ă  ramasser plein d’argent pour lui faire plaisir. En tout cas, si je rĂ©ussissais ma carriĂšre de musicien, jamais je ne prendrais la grosse tĂȘte et la laisserait tomber. MĂȘme s’il ne faut jamais dire jamais, je ne veux pas finir comme toutes ces stars qui voient en premier temps leur musique et ensuite leur famille ! Je la pratique depuis longtemps mais j’ai quand mĂȘme du bon sens. Elle m’extirpa de mes pensĂ©es en me demandant T'as cru que c'Ă©tait moi hein ? »Effectivement cette pensĂ©e m’avait traversĂ© l’esprit et turlupinĂ©. Je ne voulais pas gĂącher nos chances de rĂ©ussite respectives Ă  cause de choses dont nous pourrons bien Ă©videmment profiter plus tard. Je ne pris pas cette rĂ©flexion comme un reproche mais plutĂŽt comme une petite question de curiositĂ©. C’était dans son droit d’essayer de comprendre ce que je ressentais. Parce que dans ma vision de mon avenir tu y fais partie et avec des enfants ! » Cette petite conclusion me fit sourire de toutes mes dents et m’émoustilla par la mĂȘme occasion. J’étais tout d’un coup trĂšs heureux et rassurĂ©. J’aurais trĂšs bien pu la charrier sur ce sujet maintenant que je savais ce qu’elle en pensait, mais ne fit rien. Quoi que une petite phrase me dĂ©mangeait mais
 non. Ne gĂąchons pas cet instant avec mon humour merdique. MalgrĂ© ma position, je la voyais cacher son visage dans ces mains. Un petit rire doux sortir de ma bouche et je l’entourai de mes bras pour lui chuchoter Ne t’en fais pas ma chĂ©rie, je suis du mĂȘme avis. » J’en profitai pour lui dĂ©poser quelques baisers tendres dans le cou. Je respirai Ă  pleins poumons cette odeur si dĂ©licieuse qui a toujours hantĂ© mes nuits. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Mar 2 Mar - 1754 Ouf il venait de me soulager d'un poids, je lui avais confiĂ© mes Ă©bauches de projets d'avenir, avenir oĂč il avait sa place et nous serions aussi heureux que nous l'Ă©tions. Je ne me doutais pas que rien ne serait facile ou acquis, genre je ferme les yeux et voilĂ  nous nous installons dans une maison individuelle aprĂšs un jardin et un barbecue tous les Dimanches. Casey ferait et vivrait de la musique et serait un papa gĂąteau -enfin c'est surtout comme ça que je le voyais-et moi je serai une de ses femmes qui bossent limite trop et qui rouspĂštent parfois, ouais moi je serai sĂ©vĂšre mais j'aimerais mes enfants plus que n'importe qui au monde. Enfin j'avais et nous avions le temps, car avoir des enfants n'Ă©tait pas mon objectif premier et je remerciais Dieu de ne pas ĂȘtre tomber enceinte mĂȘme aprĂšs les nombreux oublis de pilule que j'accumulais, cette raison me motiva Ă  bien respecter les jours et surtout Ă  faire plus attention. Car oui on ne parlait vraiment pas du tout de moi mais ce n'Ă©tait pas une raison de faire abstraction sur tout ça ; trop de couples se "faisaient piĂ©ger" ainsi, ouais je sais que piĂ©ger peut paraĂźtre choquant voire mĂȘme fou mais c'Ă©tait ce que je pensais vraiment. J'avais eu des amies qui enceintes m'avait confiĂ© ce piĂšge qui se refermaient sur elle, et pas forcĂ©ment des filles banales qui Ă©taient on ne peut plus normales mais de vraies divas un peu comme le genre des Cheerleaders, je connaissais cette indĂ©pendance qu'on croyait vraiment prĂ©sente mais qui se retirait dĂ©s qu'une connerie niveau 3 venait d'ĂȘtre faite. Nos parents prĂ©fĂ©raient nous voir boire, nous droguer plutĂŽt que de savoir qu'ils deviendraient grands parents ; Ă©trange logique enfin bref. Par contre je suis allergique aux poils de chien donc on pourra pas en avoir ! »AprĂšs cette remarque je ne pu cacher ma joie ou mon bonheur, bonheur Ă©phĂ©mĂšre car l'instant plus tard le prĂ©sent me rattrapait et ma migraine reprenait de plus belle. Par rĂ©flexe et comme si Casey pouvait m'en protĂ©ger je me serra contre lui, de toutes mes forces limite Ă  l'Ă©touffer tout ça Ă  cause d'un mal de crĂąne. J'Ă©tais prĂȘte Ă  taper du pied, crier pour que tous les bruits inexistants dans la piĂšce mais bien prĂ©sents dans mon esprit s'arrĂȘtent mĂȘme cinq minutes. Je ne demandais pas l'impossible mais juste cinq minutes de rĂ©pit que je mĂ©ritais bien aprĂšs tout non ? Quand il se mit Ă  dĂ©poser ses baisers telles des gourmandises dans le creux de mon cou, un frisson parcouru toute mon Ă©chine et taquine j'en redemandais encore sans vraiment le dire explicitement. Ma main alla Ă  la rencontre de la sienne, d'abord juste en l'effleurant dans un va et vient puis en laissant mes doigts m'aventurer dans la paume de sa main, en comparant nos deux mains on pouvait voir une diffĂ©rence, une Ă©norme diffĂ©rence. Balançant mes jambes d'avant en arriĂšre quelques instants je quitta brusquement ma place pour me diriger vers le placard du fond de la piĂšce, j'ouvris la porte et aprĂšs quelques secondes d'observation haussa la pointe de mes pieds et attrapa la couette qui tomba pile dans mes mains, d'habitude elle tombait soit sur moi ou soit directement par terre. La prĂ©sence de mon petit-ami avait soit du l'intimider ou un truc du genre -non je ne suis pas folle- remontant lĂ©gĂšrement le haut de mon survĂȘtement qui me servait de fringues Ă  la maison je me dirigea Ă  nouveau vers Casey les mains chargĂ©es, j'avais Ă©galement attrapĂ© au passage deux cousins bien plus moelleux que ceux du canapĂ© et arrivĂ©e devant lui je fis mon plus grand sourire et lui lança un coussin Vu que je n'ai rien envie de faire ; une couette, toi me caressant mes cheveux, et un coussin feront l'affaire ! » Sans attendre une quelconque approbation je me glissa Ă  nouveau Ă  ma place et je nous recouvris presque entiĂšrement au passage je dĂ©posa un baiser sur les lĂšvres de Casey et juste avant que la couette n'atteigne le haut de mes Ă©paules ajouta Je pourrais rester comme ça toute la semaine...» InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Ven 5 Mar - 2032 J’imaginais bien la scĂšne du couple parfait, avec la maison parfaite, les enfants
 C’est marrant mais il y a un an, -et ça allait dĂ©jĂ  sĂ©rieux avec Serena-, je ne me serais pas posĂ© la question de savoir si je voulais des enfants et une petite vie bien tranquille. Avec le temps et surtout avec l’ñge, j’ai appris Ă  avancer et me projeter dans l’avenir. À vingt et un ans, on commence vraiment Ă  vouloir quelque chose de stable et sĂ©rieux. Je voulais faire toutes ces choses avec elle et elle seule. *Encore heureux* pensais-je intĂ©rieurement. Elle dit avec enthousiasme Par contre je suis allergique aux poils de chien donc on pourra pas en avoir ! ». Et bien tant pis pour le chien
 On aura des poissons Ă  la place, avec deux prĂ©noms complĂštement dĂ©jantĂ© et dĂ©calĂ©. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai toujours eu beaucoup d’imagination pour ça. Comme quoi il en faut peu
 Elle se sera un peu plus contre moi, moment que je savourais au maximum. Ce que j’aime aussi quand je suis avec elle, c’est qu’on peut trĂšs bien passer toute notre journĂ©e assis confortablement, Ă  parler de tout et de rien. Et je dois admettre que c’était trĂšs reposant. Sa main se posa dĂ©licatement sur la mienne, en une douce caresse. Je sentais une pression sur le canapĂ© et aperçus ses jambes bougĂ©es. Quelques secondes plus tard, elle se leva pour se rendre jusqu’au fond de la piĂšce, oĂč se trouvait un grand placard. J’observais les courbes de son corps qui je dois l’avouer, sont parfaites. Ce n’est que quand je l’ai perdu la premiĂšre fois que je me suis rendue Ă  qu’elle point elle Ă©tait belle. Non pas que je ne le pensais pas avant mais mon angle de vision avait changĂ©. Avec le temps, il n’a fait qu’évoluer et je ne la laisserais pour rien au monde dans les bras d’un autre. Je me demandais mĂȘme ce que j’étais prĂȘt Ă  faire si ça se produisait
 En tout cas rien de trĂšs intelligent. Cette idĂ©e a le don de me rendre fou
 Bref, elle revint avec une grosse couverture et des coussins. Elle m’en lança un que j’attrapais avec rĂ©flexe. Qu’elle bonne idĂ©e
 Vu que je n'ai rien envie de faire ; une couette, toi me caressant mes cheveux, et un coussin feront l'affaire ! » J’espĂ©rais bien que ça ferait l’affaire, parce que pour ma part, ça me convenait parfaitement. De toute façon tant que je suis avec elle
 Elle reprit sa place initiale, nous couvrant tout deux de l’immense couette. Je m’enfonçai plus confortablement et l’entourai de mes bras. Je ne voulais plus bouger, quitte Ă  la garder prisonniĂšre -bien qu’elle soit certainement consentante-. Je rĂ©pondis d’un ton grognon Si seulement
 ». L’envie de rester tout ce temps avec elle, ici, sans bouger me plaisait bien. Mais il y avait les cours et tout ça
 Surtout que dans ces moments lĂ , nous ne nous voyons pas beaucoup. C’est pour cette raison que j’aime autant le week-end, parce que je sais que je vais le passer avec elle. Je caressais ses cheveux avec douceur, massant de temps en temps son crane qui devait Ă  mon avis toujours ĂȘtre douloureux. Je respirai paisiblement, savourant la dĂ©licieuse odeur de Serena. Si on m’avait dit il y a quelques annĂ©es que je serais aujourd’hui ici avec elle, je n’y aurais pas cru. Comme quoi le destin avait dĂ©cidĂ© de nous rĂ©unir Ă  nouveau. Car c’est Ă©vident que j’avais eu une chance sur je ne sais combien de la revoir
 Mais ça s’est fait alors il fallait que j’arrĂȘte de ressasser sans arrĂȘt le passĂ©. Je resserrais mon Ă©treinte, en prenant garde Ă  ne pas compresser sa tĂȘte. Je m’informai de son Ă©tat Ca va mieux ta tĂȘte, ou toujours pas ? ». Il est vrai que je n’aimais pas la savoir mal. Je sais ce n’est qu’un mal de crane mais quand mĂȘme
 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Lun 15 Mar - 1900 Casey et moi un jour, serions THE perfect family. MĂȘme si je suis allergique aux chiens et que donc nos enfants n'iraient pas jouer dans le jardin avec, ils trouveraient une autre distraction. Ou bien auraient un chat, j'ai eu un chat petite et j'avais adorĂ© m'en occuper enfin bref. Les projets de futur je n'en effectuais que quelques-uns et Ă  vrai dire assez rarement aprĂšs tout je m'engageais dans de longues Ă©tudes et je suivais un avenir que toute ma famille me traçait dĂ©jĂ , interne Ă  27 ans, mĂ©decin Ă  33 et professeur d'ici la quarantaine. Une pression pas vraiment mesurable restait sur mes Ă©paules, et j'en prenais souvent conscience quand je me retrouvais dans les bras de mon petit-ami, nous avions des goĂ»ts radicalement diffĂ©rents mĂȘme nos Ă©tudes ne se retrouvaient pas. DĂ©jĂ  au collĂšge il adorait la musique et moi je portais des lunettes qui laissait prĂ©sager ma poursuite d'Ă©tudes ; ma pĂ©riode collĂšge/lycĂ©e Ă©tait une partie de ma vie sur laquelle je n'aimais pas vraiment m'Ă©taler ; par principe en premier lieu et ensuite par pudeur. J'ai du mal Ă  me maintenir une vie sociable vraiment active, Ă  aller vers les autres et surtout Ă  me confier et dire quand ça va pas, j'ai la fĂącheuse tendance Ă  tout garder pour moi et je sais que ma meilleure amie, Jeff ou tout simplement Casey n'aiment pas ça. LĂ  pile Ă  cet instant prĂ©cis je me sentais en confiance, curieux dĂ©calage entre la Serena qui dĂ©couvre des choses Ă  Fordham et la Serena qui retrouve son petit-ami qui lui avait manquĂ© cruellement et qui n'avait qu'une envie l'avoir entiĂšrement toute la journĂ©e et puis mĂȘme toute la soirĂ©e. On ne se voyait pas autant que ça ; comparĂ© Ă  certains couples carrĂ©ment jamais ! Puis de toutes maniĂšres je rĂ©clame parfois mon besoin d'indĂ©pendance c'est mieux de se retrouver aprĂšs ne pas s'ĂȘtre vus durant une semaine de cours, on en profitait toujours plus...Son souffle chaud souffla dans mes oreilles et mĂȘme mes pieds en tremblĂšrent, sa voix pouvait ĂȘtre Ă  la fois si rauque mais si douce et rĂ©confortante dĂ©s qu'il prononçait un mot ma tĂȘte s'envolait. La couette a mi-Ă©paules je passa mes mains par dessus et me tortilla en sentant un lĂ©ger courant d'air ; pourtant aucune fenĂȘtre n'Ă©taient ouvertes sauf si Shelly avant de sortir avant de sortir voulait aĂ©rer la maison... J'ignorais ce dĂ©tail qui je le savais m'occuperait l'esprit quand mĂȘme, pour revenir Ă  ma sĂ©ance coconing avec Casey, je porta mon pouce Ă  ma pouce et le surcotant il caressa mes cheveux et me fit fondre. D'habitude ça m'endors, petite quand je jouais avec ma cousine et que l'heure du coucher arrivait je ne tenais jamais en place alors ma cousine me demandait d'aller au lit et passait sa main dans mes cheveux durant de longues minutes voire une heure entiĂšre jusqu'Ă  ce que je m'endorme. Avec Casey le geste faisait plus sensuel, et me mettait tout de suite en Ă©moi. L'effet n'est pas du tout le mĂȘme... Lorsqu'il m'interrogea sur l'Ă©tat de ma migraine, j'esquissai un sourire et posant ma tĂȘte sur le haut de son torse je pris une bouffĂ©e d'oxygĂšne tout en profitant de respirer l'odeur du parfum de mon petit-ami. Parfum dont je possĂ©dais une bouteille aussi et que je sentais quand il me manquait trop, ça fait hystĂ©rique je sais bien et pourtant. Fermant les yeux je fis un signe mitigĂ© Ă  cheval entre le oui et le non que je ponctua d'un ; Encore un peu mal mais ça semble passer, surtout depuis que tu continues Ă  me masser la tĂȘte. »Je ne mentais pas j'arrangeais juste la rĂ©alitĂ© et expliquait qu'il aurait et devrait continuer. Yeux mi-clos et rĂȘvassant je me mise Ă  continuer Ă  parler sans m'en apercevoir Tu me manques, enfin je veux dire c'est dur de se croiser Ă  peine en ce moment... Je vais dans les amphi' de mon bĂątiment et quand je pense Ă  vouloir manger avec toi ; tu n'es pas dispo' et inversement. Puis aprĂšs on doit bosser, j'en ai presque marre... » Il fallait obligatoirement que dans un jour par semaine tout me gonflait et que j'aille envie de tout lĂącher pour mener vraiment ma vie comme je la voulais et l'imaginais et Ă  chaque fois dĂ©s lors que j'ouvrais Ă  nouveau les yeux cette anarchie temporaire disparaissait aussi soudainement qu'elle n'Ă©tait apparue. Et je changeais de sujet illico... Les filles de ta promo sont jolies ? T'as retrouvĂ© des ex ici ? » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Dim 21 Mar - 2137 Je me demande des fois pourquoi est-ce qu’aprĂšs avoir rompu avec Serena, je suis devenu aussi
 mĂ©prisant envers la jante fĂ©minine. Pendant un moment je crois que je n’ai pas voulu m’avouer que c’était la fille qu’il me fallait, celle que j’ai vraiment aimĂ©. L’histoire du pari n’était qu’une carapace derriĂšre laquelle me cacher. De quoi ? De ce que je ressentais rĂ©ellement pour elle. Ce sentiment qui rend euphorique, vulnĂ©rable, impuissant ... À cĂŽtĂ© de ça, mon Ă©go avait pris une petite place dans cette relation ce qui a entrainĂ© le fait que je ne lui dise pas la vĂ©ritĂ© –toute la vĂ©ritĂ©-. Enfin, il faut avouer que je ne lui ai jamais vraiment expliquĂ©. Quand nous nous sommes revus, on avait tout les deux grandi et muri. J’ai changĂ© pour Ă©viter cet aveu difficile Ă  admettre. Moi qui Ă©tait impassible, arrogant, comment lui dire que mon cƓur avait Ă©tĂ© brisĂ© ? Que me sentiments Ă©taient tellement fort que je ne l’ai jamais oubliĂ© ? Maintenant que j’avais Ă©voluĂ© et que j’arrivais facilement Ă  me confier Ă  elle, peut-ĂȘtre devrais-je tout lui expliquer. Mais elle allait certainement me prendre pour un de ces cƓurs d’artichaut, ou me rĂ©torquer qu’il Ă©tait trop tard pour s’excuser. Je ne voulais pas gĂącher ce moment oĂč nous pouvons enfin nous retrouver paisiblement, sans personne pour nous observer ou sais pertinemment que de son cĂŽtĂ© elle n’aime pas vraiment s’étaler sur certaines pĂ©riodes de son existence ou mĂȘme sur ces sentiments tout court. Parfois il faut la pousser pour obtenir ce dont on dĂ©sire. Enfin non ça peut prĂȘter Ă  confusion -je veux dire par lĂ  qu’elle a tendance Ă  gardĂ© certaine chose pour elle, et omettre intentionnellement de parler de choses qui la travaillent ou perturbent. Je n’aimais pas ça... ; Enfin c’est vrai quoi je fais des efforts et c’est normal que je n’apprĂ©cie pas qu’elle ne me dise pas tout. Bien que je sois mal placĂ© pour lui reprocher d’avoir un jardin secret. Bref, il fallait que je profite de ce moment tant que nous pouvions le partager. Avec nos emplois du temps et tout le travail que nous avons Ă  accomplir, c’est dur de toujours se voir. Certains de mes amis prĂ©tendent mĂȘme que ce n’est jamais’. Il fallait remĂ©dier Ă  ça
 Bien que quand c’est le cas, on en profite beaucoup plus qu’un couple qui se verrait tous les jours. Et ça Ă©vite par la mĂȘme occasion des disputes bĂȘtes dont nous n’avons pas besoin. Je continuais mes caresses tendres, partant de sa tĂȘte puis descendant le long de ses bras. Je sentais de temps en temps quelques frissons qui la gagnait, et insistait sur les zones qui lui Ă©taient sensibles. Peut-ĂȘtre que si elle pensait Ă  autre chose que ce mal de crĂąne, ça ira mieux. En parlant de ça, elle rĂ©pondit Encore un peu mal mais ça semble passer, surtout depuis que tu continues Ă  me masser la tĂȘte ». Cette rĂ©ponse eut don de me faire sourire, et me remettre Ă  masser cette tĂȘte qui continuait Ă  faire des sienne, malgrĂ© mes caresses et l’aspirine de tout Ă  l’heure. Sa voix douce me fit reprendre mes esprits Tu me manques, enfin je veux dire c'est dur de se croiser Ă  peine en ce moment... Je vais dans les amphi' de mon bĂątiment et quand je pense Ă  vouloir manger avec toi ; tu n'es pas dispo' et inversement. Puis aprĂšs on doit bosser, j'en ai presque marre... ». Cette suggestion fit baisser la bonne humeur qui m’avait gagnĂ© un peu plus tĂŽt. Et le pire dans tout ça c’est qu’elle avait raison, c’était tout Ă  fait ça. J’espĂ©rais simplement que mĂȘme si elle en avait marre, elle voulait toujours de moi, comme compagnon et tout ce que je pouvais lui offrir. Il y avait une solution pour remĂ©dier Ă  ce problĂšme mais nous allons devoir tous deux faires des sacrifices. Enfin on dirait que je parle d’abandonner des choses supers importantes pour nous mais c’est juste qu’il fallait qu’on fasse des efforts -plus que d’habitude-. J’avais deux trois idĂ©es que je voulais lui soumettre mais elle reprit presque instantanĂ©ment Les filles de ta promo sont jolies ? T'as retrouvĂ© des ex ici ? » . Pourquoi ce brusque changement de sujet ? Elle ne voulait pas parler de celui prĂ©cĂ©demment Ă©voquĂ© ? Si elle pensait s’en sortir comme ça. Je ne prĂȘtai pas attention Ă  sa derniĂšre question et dit d’un ton dĂ©terminĂ© Tu voudrais qu’on se voit plus souvent ? J’ai Ă©ventuellement des solutions ma chĂ©rie ». J’utilise rarement ce genre de petits surnoms mais je ne sais pas, des fois ça me prend et sort tout repensais Ă  l’aveu que j’avais voulu faire tout Ă  l’heure
 J’ajoutais presque timidement Il faudra que je te parle de quelque chose aprĂšs » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Ven 26 Mar - 1726 J'ai un cercle d'amis qui ne ressemblent pas vraiment Ă  un cercle aux premiers abords, nous sommes dĂ©jĂ  assez peu et on Ă©vite de mĂȘler amour & amitiĂ©. J'ai connu ça auparavant vous savez bien les 5 personnes qui au dĂ©but de l'annĂ©e universitaire sont unies dans les dĂ©lires, se charrient non-stop, et sont horrifiĂ©s Ă  l'idĂ©e de former un couple avec un membre du groupe ? Jusqu'au moment oĂč ça se fait par je ne sais quelle incantation de Cupidon ou qu'importe son foutu prĂ©nom et vu que les couples ne sont pas Ă©ternels et que les traditionnels sorties en amies finissent en rĂšglement de compte serrĂ©s. Au final on pouvait bien avoir l'air d'ĂȘtre un groupe de 5 mais on fonctionnait tous un par un tellement plus aucune chose n'Ă©tait possible, c'est le genre de chose qui m'arrivait et qui m'arriverait sĂ»rement au fil de l'avancement de mes Ă©tudes car lorsque je deviendras interne je m'imaginais dĂ©jĂ  comme dans Grey's Anatomy avec des histoires, ragots plus croustillants les uns que les autres mais j'en Ă©tais loin pour le moment, trĂšs loin. Alors je devais me contenter de mon cercle renfermĂ© d'amies ou lĂ  nous nous entendions parfaitement bien, Jeff Ă©tait important pour moi et on se voyait souvent sans toutefois Ă©clipser nos conjoints respectifs qui crisaient un peu de nous voir dans nos blagues ou taquineries trop mesquines. Y avait que de l'amitiĂ© lĂ -dedans, alors mĂȘme si parfois j'aimerais que Casey fasse partie de mon cercle d'amis je doute fort que ça soit bien vu des autres car qui n'a pas horreur de tenir la chandelle ? Personne...Pourtant je devais tout gĂ©rer ; maintenir un semblant de vie sociale active et non tourmentĂ©e pour me prouver Ă  moi mĂȘme que mes Ă©tudes m'absorbaient toute mon Ă©nergie et que je tenais le coup. Je voulais sortir ma tĂȘte hors de l'eau, Ă©viter de perdre pied car si cela se passait je n'aurai plus goĂ»t en rien et mon moral qui n'est pas toujours au sommet risquerait d'en prendre un coup sĂ©vĂšre pour ne pas dire fatal. Je suis dĂ©motivĂ©e en ce moment, dĂ©motivĂ©e par pleins de choses et mes envies de partir, de voyage ne font qu'augmenter en ce moment. Ouvrir mon armoire prendre les 10 premiĂšres choses que j'ai en main et boucler ma valise pour me rendre Ă  l'aĂ©roport et choisir sur place ma destination je forcerais Casey Ă  m'accompagner, mĂȘme si je devrais payer un supplĂ©ment pour sa guitare et qu'on devrait la trimballer partout tant pis tant qu'il est avec moment oĂč nous Ă©tions juste lui & moi me rendaient heureuse, comblĂ©e, joyeuse je ne pensais qu'Ă  nous et enfermĂ©s dans notre bulle j'oubliais les autres, les autres m'effrayaient parfois et j'avais du mal Ă  les comprendre je sais que ça ne fait qu'ajouter de la rĂ©serve sur mon attitude mais je suis comme ça et Casey m'a toujours connu ainsi... Je me voyais mal changer ; virer complĂštement de classe, d'Ă©tudes, de villes et encore moins de pays je nourris ces envies comme un rĂȘve, une utopie que je ne pourrais jamais atteindre. J'ai mes habitudes, et ça me rassure j'ai peur du changement comme la plupart des gens j'ai mon petit confort comme me cacher dans les bras dans mon petit-ami, l'embrasser toutes les trois minutes vingt-cinq ou nous engouffrer sous la couette et y rester toute la journĂ©e. Bien entendu que je voudrais, je suis toute ouĂŻe Ă  entendre des idĂ©es ! En espĂ©rant juste que le verbe sĂ©cher n'apparaĂźt pas lĂ -dedans... »Je fis une grimace et prenant mon air faussement indignĂ©e ; moi sĂ©cher ? JAMAIS ! Hum,hum ça reste Ă  prouver. J'apprĂ©ciais quand mĂȘme le chĂ©rie glissĂ©e dans sa phrase qui sonnait si bien dans sa bouche, j'eus envie de lui sauter au cou mais il m'aurait prit pour une hystĂ©rique ou se jurerait de ne plus me donner de petits surnoms affectueux. J'ai la fĂącheuse habitude Ă  l'appeler par son nom ou le "mon cƓur" sonnait ironiquement et la plupart du temps n'annonçaient rien de bon oui quand je me disputais et que je voulais lui parler je disais "mon coooeur" ma voix tendue enlevait la douceur du mot en un rien de temps. Nous nous disputions rarement mais un peu comme la majoritĂ© des couples, qu'importe quand je me suis Ă©garĂ© sur le sujet de ces ex j'avais mal calculĂ© mon plan et sans grosses surprises il ignora complĂštement la question. Je me dĂ©cala et m'asseyant sur l'un de ses genoux je plaça ma main sous son menton et fis tourner son visage vers moi, j'aimais pas les affirmations qui commençaient comme ça ça ressemblaient Ă  des aveux et donc nouveau stress Ă  accumuler Parle en maintenant vu que t'as esquivĂ© joliment ma prĂ©cĂ©dente question. » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Visite matinale [ Serena ] Dim 11 Avr - 1743 Je me demande souvent si un jour ou l’autre, ma petite amie n’en aura pas marre de moi, Ă  cause de mon caractĂšre, de nos visites qui ne sont, il faut l’avouĂ©, pas assez frĂ©quentes ou encore Ă  cause de quelqu’un d’autre. Une relation ça s’entretient et Ă  n’importe quel moment, on peut faire face Ă  des problĂšmes qui sont nocifs Ă  la bonne entente et la soliditĂ© du couple. Personne n’est Ă  l’abri d’un danger, pas mĂȘme moi au bout de trois ans. Surtout qu’une rumeur peut vite courir, fausse ou vraie. De nos jours pour ĂȘtre rĂ©ellement tranquille avec l’ĂȘtre aimĂ©, il faut s’en aller. Loin de nos problĂšme respectifs, notre entourage, les cours
 Se retrouver Ă  deux, sans personne pour Ă©courter un cĂąlin, ou encore interrompre une conversation importante. A plusieurs reprises j’aurais voulu emmener Serena en voyage, dans un autre pays, prendre tout ce qui m’est rĂ©ellement important et partir, sans prĂ©venir personne. Trouver un beau petit coin, genre carte postal, quelque chose qu’on oubliera jamais. Mais encore une fois notre vie ici est trop mouvementĂ©e et importante pour tout lĂąchĂ©, et fuir’. C’est exactement ça
 fuir la triste vĂ©ritĂ© Ă  laquelle je dois faire face. C’était certainement la meilleure des idĂ©es pour qu’on passe plus de temps ensemble, mais je ne la lui soumettrais pas. Si c’est pour la mettre mal Ă  l’aise et qu’elle cherche une bonne excuse, sans me blesser ni me vexer, autant ne rien dire. Je garderais ça enfoui dans mon crĂąne, pour le ressortir au moment propice, un jour
 Bien entendu que je voudrais, je suis toute ouĂŻe Ă  entendre des idĂ©es ! En espĂ©rant juste que le verbe sĂ©cher n'apparaĂźt pas lĂ -dedans... ». Dit-elle sur un ton ironique. Je savais pertinemment que ses Ă©tudes comptaient pour elle et c’est pour cette raison que je n’allais pas l’entrainer Ă  faire des choses qu’elle regretterait plus tard. Quoi que
 enfreindre les rĂšgles peut ĂȘtre parfois excitant. Le fait que nous habitions dans le mĂȘme coin c’est dĂ©jĂ  un bon dĂ©but. Peut-ĂȘtre que de temps en temps, tu pourrais venir passer quelques jours Ă  la maison
 ». Ok ce n’était the proposition mais sur le moment, c’est la seule chose qui me paraissait possible. Si elle refusait, ce serait tant pis pour moi. Mais si jamais elle voulait travailler, je la laisserais ; et si elle avait oubliĂ© quelques choses chez elle, c’était Ă  deux rues de lĂ . Nous pourrions nous rendre Ă  Fordham ensemble, nous retrouver le soir pour passer la nuit Ă  deux
 Elle s’asseya sur un de mes genoux, tout en me faisant tourner la tĂȘte vers elle et dit Parle en maintenant vu que t'as esquivĂ© joliment ma prĂ©cĂ©dente question. ». À la façon dont j’avais formulĂ© ma prĂ©cĂ©dente phrase, elle devait dĂ©jĂ  commencer Ă  stresser. Mais si j’avais dit ça comme ça c’est que le reste n’était pas facile Ă  dire. J’avais aussi inconsciemment omis de rĂ©pondre Ă  sa derniĂšre question. C’est vrai que j’ai retrouvĂ© quelques connaissances mais elle n’avait rien Ă  craindre, je n’étais pas du genre infidĂšle. Je tenais trop Ă  elle pour faire une chose pareille. D’une voix posĂ©e, je lui demandais Est-ce que tu t’es dĂ©jĂ  demandĂ© ce qu’il s’est vraiment passĂ© ? Quand on Ă©tait plus petit ? ». Depuis que nous nous sommes retrouvĂ©s, on n’a jamais vraiment abordĂ© ce sujet, qui reste difficile. Je ne voulais pas gĂącher ce moment avec elle mais je voulais qu’elle sache la vĂ©ritĂ©, ce que j’avais ressenti, ce qu’il s’était passĂ©. En attendant qu’elle rĂ©ponde quoi que ce soit, je dĂ©plaçais ses jambes de façon Ă  ce qu’elle soit Ă  califourchon sur moi et l’enlaçai tendrement. Je l’aimais sincĂšrement
 Au bout de quelques minutes, je pris son visage entre mes deux mains pour l’observer. Je connaissais chaque partie de son corps, mĂȘme les choses que certains de ses amis n’avaient certainement pas remarquĂ©. Je faisais attention Ă  elle, chaque petit dĂ©tail qui faisait que c’était avec elle que je voulais partager ma vie. Je suis certain que si on me bandait les yeux, je pourrais la reconnaitre entre mille filles. Je t’aime » chuchotais-je
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